Bonjour, tu trouveras sur le net des mousses d'isolation phonique. Dans un magasin de bricolage tu trouveras déjà des mousses grises en coquille d'oeuf mais peu efficace. Je préfère sous la forme de panneaux durs d'un m2. Plusieurs épaisseurs et plusieurs possibilités sont offertes. Je pense qu'opter pour un multicouches d'isolation phonique et vibratoire épais (c'est un peu pareil) est un bon calcul. Mais attention à ce qu'il soit prévu pour un compartiment moteur (anti feu et non réactif aux huiles). Généralement c'est simple à couper et à coller. Etre précis dans les découpes et isoler également le compartiment de l'inverseur. Attention aussi à maintenir la ventilation prévue par le constructeur, souvent un conduit-sas vers des grilles extérieures. Une solution pour la descente est également à trouver. Un joint néoprène ne serait pas superflux. Pas de la simple mousse qui se détruit rapidement.
Pour ma part je me demandais si, pour un bateau avec axe de sortie et berceau, on ne pouvait pas trouver une bague autolubrifiante anti bruit et anti vibrations. Un roulement à billes marinisé... le rêve total. Ce serait complet.
J'avoue que peu de constructeurs sont scrupuleux sur ce point de l'isolation phonique. Ce qui est finalement un peu idiot et pas vraiment cher (€) à fignoler. Et c'est tellement plus confortable sans le ronron du dièsel et l'axe qui renvoit ses vibrations au cockpit.
Bonjour, tu trouveras sur le net des mousses d'isolation phonique. Dans un magasin de bricolage tu trouveras déjà des mousses grises en coquille d'oeuf mais peu efficace. Je préfère sous la forme de panneaux durs d'un m2. Plusieurs épaisseurs et plusieurs possibilités sont offertes. Je pense qu'opter pour un multicouches d'isolation phonique et vibratoire épais (c'est un peu pareil) est un bon calcul. Mais attention à ce qu'il soit prévu pour un compartiment moteur (anti feu et non réactif aux huiles). Généralement c'est simple à couper et à coller. Etre précis dans les découpes et isoler également le compartiment de l'inverseur. Attention aussi à maintenir la ventilation prévue par le constructeur, souvent un conduit-sas vers des grilles extérieures. Une solution pour la descente est également à trouver. Un joint néoprène ne serait pas superflux. Pas de la simple mousse qui se détruit rapidement.
Pour ma part je me demandais si, pour un bateau avec axe de sortie et berceau, on ne pouvait pas trouver une bague autolubrifiante anti bruit et anti vibrations. Un roulement à billes marinisé... le rêve total. Ce serait complet.
J'avoue que peu de constructeurs sont scrupuleux sur ce point de l'isolation phonique. Ce qui est finalement un peu idiot et pas vraiment cher (€) à fignoler. Et c'est tellement plus confortable sans le ronron du dièsel et l'axe qui renvoit ses vibrations au cockpit.
Bon boulot.