Merci Jean-François de ce tuyeau bien alléchant (qui en plus offre une alternative intéressante lorsqu'on navigue en solo : plus
la peine de s'éclater le gros orteil lors du sprint entre la proue et la poupe )
Je me pose cependant une question : pourquoi , depuis le temps qu'on jette l'ancre, tout le monde n'a-t-il pas adopté cette
technique ? Sachant que la plupart des inconvénients que tu décris seraient vite gommés si le bateau était conçu à l'origine pour
cette formule de mouilllage (renforcement de la poupe, bittes à l'arrière, voire gindeau, etc,...).
Bonjour Emmanuel,
Je n'ai pas la réponse!
Je suppose que les voiliers anciens à quille longue étaient mieux équilibrés au mouillage ou que l'on ne pouvait mettre le
cabestan que sur la plage avant , d'où un héritage historique.
Si le sujet vous intéresse, je vous suggère d'aller sur le site de ace sailsmakers: www.acesails.com/
et de rentrer dans la rubrique "jordan series drogue".
Bon mouillages!
Jean-François
Bonjour Roger,
C'est une possibilité.
Je ne l'ai jamais pratiquée.
Elle me semble augmenter le fardage et donc diminuer la tenue du mouillage par vent fort, mais c'et un commentaire purement
théorique à prendre avec des pincettes comme toute théorie non confirmée par la pratique.
Quant au tape cul, c'est une petite voile souvent établie à la poupe d'un navire de travail et frappée sur une queue de malet,
bisquine par exemple, pour équilibrer le navire sous voiles ou le maintenir à la cape; la voile en question y ressemble donc fort.
Il y a un bon site sur les bisquines, je me premet de vous l'indiquer: http://www.lagranvillaise.org/g90/histoire.htm
Si vous esayez le mouillage "à l'anglaise", merci de me faire part de votre expérience!
Bonnes navigations,
Jean-François
Une réponse possible - et forcément partielle - à la stabilité de mouillage avec cette voile gréée sur le pataras. Facile à faire
confectionner ou, si on est plus doué que moi, à réaliser soi même. Amicalement. Chac
Bonjour,
Pour info ;
La petite voile de pataras est un spitfire. Elle s'utilise en couple avec une ancre parachutte pour positionner la proue
face au vent.
Non seulement cette petite voile est utilisée sur les ketch ou les yawl mais aussi sur les chalutiers bretons...pour les
stabiliser quand ils sont en pêche, donc si pour eux cela est efficace pour nous c' est tout bénef ...si petit mat à l' arrière !
Merci pour l'info,
C'est une bonne idée à essayer surtout pour les dériveurs qui tirent vite des grands bords au mouillage.
Par contre l'idée de Jean-Francois, c'est pas peut-être pas tres bon pour les bateaux modernes avec une voute trés prés de
l'eau, en mouillant par l'arrière, au moindre clapot c'est floc floc floc floc sous la jupe. L'enfer pour ceux qui dorment dans la
cabine Arrière. Mais c'est aussi, comme tu dors pas, un bon moyen de surveiller le mouillage
Salut à tous !Autre méthode pour éviter de tirer ces bords :
Pourvu qu'il y ait la place de le faire (et pourvu que les autres voiliers dans le mouillage le fassent pour que tous aient le même
évitage ce qui est le cas par exemple à Chausey à Port-homard ) :
poser l'ancre avant, dérouler X mètres de chaine, puis poser une ancre à l'arrière et laisser filer X/2 mètres tout en reprenant
X/2 mètres à l'avant....Le voilier est alors tenu droit. Au départ, relacher la chaine à l'avant, remonter l'ancre arrière, puis
remonter normalement l'ancre avant.
Il y a aussi la possibilité d'affourcher, ce qui tient la proue en place...Le voilier "frétille" du cul...mais ne tire pas de bords.
Et si c'est pour un long séjour, combiner les deux !...En espérant que le vent ne change pas...et qu'il n'y ait pas urgence à
quitter les lieux devenus soudain inhospitaliers !
Mon cabestan est aussi à l'avant.
Je frappe une aussière sur la chaine à l'avant; je la fais courrir sur toute la longueure du bateau et l'amarre à la poupe; je lache
de la chaine jusqu'à ce que l'aussière frappée à l'arrière travaille.
Pour remonter je reprend la chaine, libère l'ausssière à l'arrière du taquet ou de la bitte et la rentre par l'avant comme elle était
sortie.
Bon mouillage!
Jean-François
tout à fait intéressant, toutefois le clapot sous la voute peut-etre exaspérant dans une cabine proprio à la poupe,
peut-etre qu'une jupe lestée decendue dans l'eau le long du bord de plage, éviterait le plus gros du barouf.
C'est aussi embetant de devoir sortir plus d' une fois la longueur du bateau en chaine pour l'amener à la poupe tout en la laissant sur le davier
A essayer d'abord le systeme du tourmentin gréé à l'envers sur le pataras
Bozozo
Premier essai, premier grain de pluie, j'ai renoncé immédiatement.
De+, 30 secondes de perdues si le bateau chasse,c'est déja trop.
sans compter que si tu chasses le retournement du bateau te fait perdre encore une longueur de bateau.
Le fardage est supérieur.
à essayer, mettre à l'eau une 2ème ancre 1m sous l'eau, celà peut déjà faire de l'effet.
excuses-moi Roger, mais à quoi as-tu renoncé immédiatement, au tourmentin "tape-cul" ou au mouillage à l'envers ????, .Ton expérience m'évitera un
essai inutile, Merci
BOZOZO
le mouillage par la poupe ne peut être pratiqué que par vent faible et temps chaud, pour procurer un avantage : la petite
brise ventile mieux le bateau puisqu'arrivant de l'arrière. Certains bateaux le pratique dans ce but.
un mouillage normal par l'avant n'occasionne pas de va-et-vient dans des conditions normales. Seuls certains multicoques
(pas tous) et dériveurs peuvent y être sujets.
Mais d'une part cela ne fera pas déraper l'ancre pour autant, d'autre part il est absolument d'avoir les apparaux de
mouillage (baille, écubiers, chaumards, guindeau) plaçés au bon endroit. Ne serait-ce que pour pouvoir rallonger ou remonter
le mouillage rapidement.
Cette technique de mouillage par l'arrière de plus dès qu'il y a un peu de clapot deviendra très vite désagréable, la coute
du bateau tapant dans la mer.
Pour moi, à part le premier exemple cité, cela n'est pas valable et ne doit pas être pratiqué.
un avantage de ce type de mouillage c'est que l'air entre plus facilement dans le bateau quand il fait très chaud. Je le
pratique souvent en Méditerranée mais il y a quelques inconvénients. Le plus grave est que les bateaux qui arrivent (surtout
les locations) ne comprennent rien et se mouillent comme d'habitude sur votre arrière. Pas de chance! On les retrouve dans
la minute sur le tableau ou bien ils remontent votre ancre en repartant.
L'autre inconvénient non négligeable est le fardage plus important et le temps de retournement s'il faut partir en urgence.
Maintenir le bateau en léger travers du vent par un bout pris sur la chaîne et pris sur un taquet arrière est un peu moins
mauvais pour empêcher l'évitage ou pour le moins le limiter. Cependant il faut faire un noeud de chaise avec l'amarre sur la
chaîne pour pouvoir le couper quand on remeonte le mouillage, par fort vent sinon on risque de perdre du temps ou de prendre
le bout dans l'hélice et de se retrouver à la côte.
Le coup de l'ancre sur l'arrière n'est pas trop valable, le bateau évite quand même et en cas de coup dur il faut le laisser
filer pour partir en urgence.
Excellente solution d'AF (bout pris sur la chaine et ramené a l'arriere) je la pratique aussi pour mettre le bateau face a la houle.
Il arrive parfois dans un mouillage que la houle ne soit pas dans le sens du vent , ni du bateau. C'est alors, avec un peu de
chance un roulis pendulaire d'enfer . De plus Le bateau repris a l'arriere, je ramene le bout sur le winch et ceci me permet de
régler l'angle "au petit poil" Une precision les deux partis sont sou tension : La chaine et le bout AR donc, je ne me mets
pas "cul" face au vent ni aux vagues
C est mon deuxieme bateau et c est la deuxieme fois que je regle le probleme de derapage de l ancre de la meme facon.
Premierement je vire ma CQR, deuxiement je m achete une plate surdimensionneé type FOB ou Danforth. A la derniere occasion
j ai remplace ma CQR 22kg pour une Danforth 30KG,,, fini les problemes. Au premier bateau ma CQR 16kg est remplacee par
une FOB 22kg (c etait une copie) et la aussi fini les problemes. Les CQR et toutes autres encres dites techniques font tres jolies
a la proue des voiliers mais ne sont vraiement performantes que dans les ports ou dans la vase. Sur tout autre fond c est un
coup de chance pour que ca tient. C est vraie qu une Danforth ne fait pas tres jolie a l avant de mon sunkiss, mais je dort
beaucoup plus confiant et les bords sur l ancre ne me donne plus de boutons nocturnes. Par contre dans les gros caillous les
plates ont souvent la mauvaise idee de se coincé sous les rochers, prevoir un orin. Je n ai pas vue souvent des paquebots ou
des petroliers mouiller des CQR,,, ils ont des lourdes et plates!!!! Maintenant c est ma devise, lourde et plate pou le mouillage.
Ananda, un Flot 40, tire beaucoup moins que mes précédents; probable que la quille est plus longue, mais il y a aussi un
portique à l'arrière avec éolienne, panneau solaire ... ça doit tirer dans le bon sens!
Question CQR, je n'ai pas à me plaindre de la mienne, je pige pas les réserve de certains; note que j'aime bien les plates aussi.
Tout ceci est bel et bon, mais, mon bateau est une goélette et je viens de vérifer sur le plan, le centre de "fardage" semble bien en arrière du centre de dérive, et pourtant, j'ai aussi ce phénomène de "bords" au mouillage.
Explication ?
une suggestion plutôt : estimer à la louche le fardage (coque, mât misaine, etc ... à l'avant du centre de dérive. Les Schpounz ont une coque à l'ancienne de bonne surface !
Un bout de voile bômée (6 m² au pif) hissé sur le grand mât, ou plus en arrière si possible, ne peut pas faire de mal.
Merci Jean-François de ce tuyeau bien alléchant (qui en plus offre une alternative intéressante lorsqu'on navigue en solo : plus
la peine de s'éclater le gros orteil lors du sprint entre la proue et la poupe )
Je me pose cependant une question : pourquoi , depuis le temps qu'on jette l'ancre, tout le monde n'a-t-il pas adopté cette
technique ? Sachant que la plupart des inconvénients que tu décris seraient vite gommés si le bateau était conçu à l'origine pour
cette formule de mouilllage (renforcement de la poupe, bittes à l'arrière, voire gindeau, etc,...).
Il y a un autre moyen. Je l'ai vu cet été sur un bateau anglais mouillé à coté de nous à Houat.
Ce bateau avait une sorte de tourmentin bien plat gréé à l'envers dans le patara. Résultat le bateau ne bougeait quasiment pas.
Il semble que cela s'appelle un "tape cul".
A+
Roger
Bonjour Emmanuel,
Je n'ai pas la réponse!
Je suppose que les voiliers anciens à quille longue étaient mieux équilibrés au mouillage ou que l'on ne pouvait mettre le
cabestan que sur la plage avant , d'où un héritage historique.
Si le sujet vous intéresse, je vous suggère d'aller sur le site de ace sailsmakers: www.acesails.com/
et de rentrer dans la rubrique "jordan series drogue".
Bon mouillages!
Jean-François
Bonjour Roger,
C'est une possibilité.
Je ne l'ai jamais pratiquée.
Elle me semble augmenter le fardage et donc diminuer la tenue du mouillage par vent fort, mais c'et un commentaire purement
théorique à prendre avec des pincettes comme toute théorie non confirmée par la pratique.
Quant au tape cul, c'est une petite voile souvent établie à la poupe d'un navire de travail et frappée sur une queue de malet,
bisquine par exemple, pour équilibrer le navire sous voiles ou le maintenir à la cape; la voile en question y ressemble donc fort.
Il y a un bon site sur les bisquines, je me premet de vous l'indiquer: http://www.lagranvillaise.org/g90/histoire.htm
Si vous esayez le mouillage "à l'anglaise", merci de me faire part de votre expérience!
Bonnes navigations,
Jean-François
Une réponse possible - et forcément partielle - à la stabilité de mouillage avec cette voile gréée sur le pataras. Facile à faire
confectionner ou, si on est plus doué que moi, à réaliser soi même. Amicalement. Chac
http://www.bannerbaymarine.com/index.php
Bonjour,
Pour info ;
La petite voile de pataras est un spitfire. Elle s'utilise en couple avec une ancre parachutte pour positionner la proue
face au vent.
Tape cul :
Non seulement cette petite voile est utilisée sur les ketch ou les yawl mais aussi sur les chalutiers bretons...pour les
stabiliser quand ils sont en pêche, donc si pour eux cela est efficace pour nous c' est tout bénef ...si petit mat à l' arrière !
Hervé
Merci pour l'info,
C'est une bonne idée à essayer surtout pour les dériveurs qui tirent vite des grands bords au mouillage.
Par contre l'idée de Jean-Francois, c'est pas peut-être pas tres bon pour les bateaux modernes avec une voute trés prés de
l'eau, en mouillant par l'arrière, au moindre clapot c'est floc floc floc floc sous la jupe. L'enfer pour ceux qui dorment dans la
cabine Arrière. Mais c'est aussi, comme tu dors pas, un bon moyen de surveiller le mouillage
Bon mouillage à tous.
Salut à tous !Autre méthode pour éviter de tirer ces bords :
Pourvu qu'il y ait la place de le faire (et pourvu que les autres voiliers dans le mouillage le fassent pour que tous aient le même
évitage ce qui est le cas par exemple à Chausey à Port-homard ) :
poser l'ancre avant, dérouler X mètres de chaine, puis poser une ancre à l'arrière et laisser filer X/2 mètres tout en reprenant
X/2 mètres à l'avant....Le voilier est alors tenu droit. Au départ, relacher la chaine à l'avant, remonter l'ancre arrière, puis
remonter normalement l'ancre avant.
Il y a aussi la possibilité d'affourcher, ce qui tient la proue en place...Le voilier "frétille" du cul...mais ne tire pas de bords.
Et si c'est pour un long séjour, combiner les deux !...En espérant que le vent ne change pas...et qu'il n'y ait pas urgence à
quitter les lieux devenus soudain inhospitaliers !
Moi mon guindo il est devant je me vois mal remonter l'encre a la main
Mon cabestan est aussi à l'avant.
Je frappe une aussière sur la chaine à l'avant; je la fais courrir sur toute la longueure du bateau et l'amarre à la poupe; je lache
de la chaine jusqu'à ce que l'aussière frappée à l'arrière travaille.
Pour remonter je reprend la chaine, libère l'ausssière à l'arrière du taquet ou de la bitte et la rentre par l'avant comme elle était
sortie.
Bon mouillage!
Jean-François
tout à fait intéressant, toutefois le clapot sous la voute peut-etre exaspérant dans une cabine proprio à la poupe,
peut-etre qu'une jupe lestée decendue dans l'eau le long du bord de plage, éviterait le plus gros du barouf.
C'est aussi embetant de devoir sortir plus d' une fois la longueur du bateau en chaine pour l'amener à la poupe tout en la laissant sur le davier
A essayer d'abord le systeme du tourmentin gréé à l'envers sur le pataras
Bozozo
frangeul.jp@wanadoo.fr
Premier essai, premier grain de pluie, j'ai renoncé immédiatement.
De+, 30 secondes de perdues si le bateau chasse,c'est déja trop.
sans compter que si tu chasses le retournement du bateau te fait perdre encore une longueur de bateau.
Le fardage est supérieur.
à essayer, mettre à l'eau une 2ème ancre 1m sous l'eau, celà peut déjà faire de l'effet.
Roger
excuses-moi Roger, mais à quoi as-tu renoncé immédiatement, au tourmentin "tape-cul" ou au mouillage à l'envers ????, .Ton expérience m'évitera un
essai inutile, Merci
BOZOZO
Au mouillage par le cul, la pluie entre immédiatement dans la descente.
Roger
le mouillage par la poupe ne peut être pratiqué que par vent faible et temps chaud, pour procurer un avantage : la petite
brise ventile mieux le bateau puisqu'arrivant de l'arrière. Certains bateaux le pratique dans ce but.
un mouillage normal par l'avant n'occasionne pas de va-et-vient dans des conditions normales. Seuls certains multicoques
(pas tous) et dériveurs peuvent y être sujets.
Mais d'une part cela ne fera pas déraper l'ancre pour autant, d'autre part il est absolument d'avoir les apparaux de
mouillage (baille, écubiers, chaumards, guindeau) plaçés au bon endroit. Ne serait-ce que pour pouvoir rallonger ou remonter
le mouillage rapidement.
Cette technique de mouillage par l'arrière de plus dès qu'il y a un peu de clapot deviendra très vite désagréable, la coute
du bateau tapant dans la mer.
Pour moi, à part le premier exemple cité, cela n'est pas valable et ne doit pas être pratiqué.
un avantage de ce type de mouillage c'est que l'air entre plus facilement dans le bateau quand il fait très chaud. Je le
pratique souvent en Méditerranée mais il y a quelques inconvénients. Le plus grave est que les bateaux qui arrivent (surtout
les locations) ne comprennent rien et se mouillent comme d'habitude sur votre arrière. Pas de chance! On les retrouve dans
la minute sur le tableau ou bien ils remontent votre ancre en repartant.
L'autre inconvénient non négligeable est le fardage plus important et le temps de retournement s'il faut partir en urgence.
Maintenir le bateau en léger travers du vent par un bout pris sur la chaîne et pris sur un taquet arrière est un peu moins
mauvais pour empêcher l'évitage ou pour le moins le limiter. Cependant il faut faire un noeud de chaise avec l'amarre sur la
chaîne pour pouvoir le couper quand on remeonte le mouillage, par fort vent sinon on risque de perdre du temps ou de prendre
le bout dans l'hélice et de se retrouver à la côte.
Le coup de l'ancre sur l'arrière n'est pas trop valable, le bateau évite quand même et en cas de coup dur il faut le laisser
filer pour partir en urgence.
Excellente solution d'AF (bout pris sur la chaine et ramené a l'arriere) je la pratique aussi pour mettre le bateau face a la houle.
Il arrive parfois dans un mouillage que la houle ne soit pas dans le sens du vent , ni du bateau. C'est alors, avec un peu de
chance un roulis pendulaire d'enfer . De plus Le bateau repris a l'arriere, je ramene le bout sur le winch et ceci me permet de
régler l'angle "au petit poil" Une precision les deux partis sont sou tension : La chaine et le bout AR donc, je ne me mets
pas "cul" face au vent ni aux vagues
C est mon deuxieme bateau et c est la deuxieme fois que je regle le probleme de derapage de l ancre de la meme facon.
Premierement je vire ma CQR, deuxiement je m achete une plate surdimensionneé type FOB ou Danforth. A la derniere occasion
j ai remplace ma CQR 22kg pour une Danforth 30KG,,, fini les problemes. Au premier bateau ma CQR 16kg est remplacee par
une FOB 22kg (c etait une copie) et la aussi fini les problemes. Les CQR et toutes autres encres dites techniques font tres jolies
a la proue des voiliers mais ne sont vraiement performantes que dans les ports ou dans la vase. Sur tout autre fond c est un
coup de chance pour que ca tient. C est vraie qu une Danforth ne fait pas tres jolie a l avant de mon sunkiss, mais je dort
beaucoup plus confiant et les bords sur l ancre ne me donne plus de boutons nocturnes. Par contre dans les gros caillous les
plates ont souvent la mauvaise idee de se coincé sous les rochers, prevoir un orin. Je n ai pas vue souvent des paquebots ou
des petroliers mouiller des CQR,,, ils ont des lourdes et plates!!!! Maintenant c est ma devise, lourde et plate pou le mouillage.
Ananda, un Flot 40, tire beaucoup moins que mes précédents; probable que la quille est plus longue, mais il y a aussi un
portique à l'arrière avec éolienne, panneau solaire ... ça doit tirer dans le bon sens!
Question CQR, je n'ai pas à me plaindre de la mienne, je pige pas les réserve de certains; note que j'aime bien les plates aussi.
Xavier
Tout ceci est bel et bon, mais, mon bateau est une goélette et je viens de vérifer sur le plan, le centre de "fardage" semble bien en arrière du centre de dérive, et pourtant, j'ai aussi ce phénomène de "bords" au mouillage.
Explication ?
B'Soir,
une suggestion plutôt : estimer à la louche le fardage (coque, mât misaine, etc ... à l'avant du centre de dérive. Les Schpounz ont une coque à l'ancienne de bonne surface !
Un bout de voile bômée (6 m² au pif) hissé sur le grand mât, ou plus en arrière si possible, ne peut pas faire de mal.