J'ai rencontré des "zoizeauxdularge" heureux sur des bateaux de 8 mètres (et moins) et des gens avec plein de problèmes sur
de magnifiques unités de plus de 55 pieds..
et la taille?? elle est souvent proprotionnée à celle du porte monaie?
Si j'en juge par la photo... l'idéal est un dériveur intégral d' environ 12m... Puisque c'est le mien!
C'était le 23 décembre 2000 au milieu de l'Atlantique à mi-chemin entre Mindélo et La Martinique, le bonheur...!
Rien a ajouter aux dires d'Alain d'Hylas: c'est l'observation de tous ceux qui naviguent ou qui ont navigué. Mon expérience me
ferait rajouter que les équipages les plus heureux que j'ai rencontrés avaient la sagesse d'épouser la simplicité.
"L IDEAL" c est de partir avec un bateau costaud et bien préparé et certainement pas avec un de ces bateaux jetables comme
la plupart des biens de consommation actuel...Peu importe le materiau! Il y a de bonnes et de mauvaises constructios tant du
coté des pro que du coté des amateurs...Aprés des défauts ça se corrige des faiblesses ça se renforce mais encore faut il
etre lucide et compétent!
Et pour lever les doutes et avoir des conseils et bien il y a...STW et plein d autres source de rensignements.
C'est le porte-monnaie + le programme + la philosophie de chacun qui déterminent la taille et j'ajouterai le type de
bateau (ce qui est au moins aussi important que la taille), me semble t-il. "Petit bateau (12 mètres selon moi) petits
soucis", me paraît quand même bien vrai. Grand, c'est cher à l'achat et à l'entretien sans compter le racket légal de la
taxe de francisation, et le prix des ports (et quand voius avez un multicoque c'est 1,5 fois le prix, au port !). Trop petit çà
peut devenir limitatif pour le programme... Les multi sont parfaits (pas n'importe lesquels) mais pas pour l'Antarctique, par
exemple compte tenu de leur très grande stabilité inverse ( ! ), les monos n'avancent guère (du moins les monos de
croisière et çà je ne supporte pas indépendamment du fait que transporter du plomb me paraîit une hérésie. Vous
imaginez le nombre de bonnes bouteilles que çà représente ?)...
A chacun son bonheur, l'important c'est de naviguer avec un bateau en accord avec son programme et ses moyens. La
fiabilité et la simplicité sont pour moi des paramètres essentiels (même si mon canot' n'est pas si simple, mais je sais à peu
près tout réparer). Il y a peu de mauvais bateaux mais beaucoup de bateaux utilisés pour un programme inadapté à
leurs caractéristiques...
Bien d'accord pour décrier les bidets actuels qui ne sont pas faits pour naviguer en dehors des 3 semaines d'été, de
marina en marina. Mais... quel confort au port ! Il y a même les rateliers à verres pour l'apéritif dans le cockpit, que
demander de mieux ? D'ailleurs, pourquoi il y a des voiles, c'est cher et on ne les hisse que 2 ou 3 fois par an ... Ces
bateaux peuvent en fait naviguer loin mais quel travail pour les "mariniser" !! Un comble.
Bon vent
Il n'y aura jamais de réponse, conjuguer les dimensions de compte et du rève? Il restera toujours le rève. Tant que l'envie
demeure, le petit plus implique des choix matériels : le compte. L'espoir, le rève, la volonté, la persévérance, le choix ,le temps
ne sont pas quantifiables, ils sont "Le fada salé à coeur". En attendant, "on fait ça qu'on peut, avec ça qu'on a" et cela n'interdit
rien.Surtout le rève.Lunettes(Gaffas)
Il y a 5 ans,je suis tombe amoureux au premier coup d'oeuil d'un 53 pieds de 20 ans tres tres bon marche.
Des fois, je reve d'un 6,50 m; d'autre fois avec force 8, je suis content d'avoir ete fou. Mais je reste amoureux de mon bato et
des fois, j'ai l'impression que c'est reciproque.
Pas tout à fait d'accord sur le rapport taille/ difficulté de manoeuvre, avec les progrès réalisés sur l'acastillage un bateau de 16m
d'aujourd'hui est certainement plus facile à mener que le 11m de Josua SLOCUM
A.P.
il faudrait peut-être parler surtout de longueur à la flottaison, ou de déplacement, pour avoir une idée de la difficulté de
manoeuvre: en solitaire ou à deux, il est inutile de dépasser 6 à 8 tonnes de déplacement pour vivre et naviguer au long cours,
avec un bateau raisonnablement moderne mais tolérant à la charge, sans descendre en dessous de 4 à 5 tonnes pour
s'accorder un peu de confort et d'autonomie. En longueur de flottaison, 9 à 11m paraissent convenir.
Bien sur cela dépend de chacun,et du programe de navigation.
multicoque très bien pour les Antilles.
monocoque beaucoup plus fiable pour un TDM.
Taille entre 35 et 45 ft soit entre 10 et 14 m en dessous c'est trop petit et rique d'être inconfortable à long terme.
Au dessus cela peu devenir dur physiquement en cas de pèpin, genre voile déchirée ou manoeuvre sans moteur ( oui cela arrive
parfois).
Les baquets en plastique du salon demande effectivement à être mariniser sèrieusement avant de prendre la mer .
Enfin je ne suis pas vraiment d'accord avec le vieille adage, petit bateau petits problèmes, gros bateau Gros problème.
lorsque le moteur tombe en panne, que le gouvernail casse,ou que l'étais avant ce détorronne, le problème demeure identique
que ce soit sur un gros ou un petit batau.Seul le budget est difèrent.
Euh ... c'est un peu short pour un article, non?
la taille? est-ce vraiment important??
J'ai rencontré des "zoizeauxdularge" heureux sur des bateaux de 8 mètres (et moins) et des gens avec plein de problèmes sur
de magnifiques unités de plus de 55 pieds..
et la taille?? elle est souvent proprotionnée à celle du porte monaie?
Si j'en juge par la photo... l'idéal est un dériveur intégral d' environ 12m... Puisque c'est le mien!
C'était le 23 décembre 2000 au milieu de l'Atlantique à mi-chemin entre Mindélo et La Martinique, le bonheur...!
Rien a ajouter aux dires d'Alain d'Hylas: c'est l'observation de tous ceux qui naviguent ou qui ont navigué. Mon expérience me
ferait rajouter que les équipages les plus heureux que j'ai rencontrés avaient la sagesse d'épouser la simplicité.
"L IDEAL" c est de partir avec un bateau costaud et bien préparé et certainement pas avec un de ces bateaux jetables comme
la plupart des biens de consommation actuel...Peu importe le materiau! Il y a de bonnes et de mauvaises constructios tant du
coté des pro que du coté des amateurs...Aprés des défauts ça se corrige des faiblesses ça se renforce mais encore faut il
etre lucide et compétent!
Et pour lever les doutes et avoir des conseils et bien il y a...STW et plein d autres source de rensignements.
La taille idéale ?
C'est celle du bateau qui largue ses amarres !
On dit souvent que le bateau ideale est ...`celui qui est juste un peu plus grand`
Rob
C'est le porte-monnaie + le programme + la philosophie de chacun qui déterminent la taille et j'ajouterai le type de
bateau (ce qui est au moins aussi important que la taille), me semble t-il. "Petit bateau (12 mètres selon moi) petits
soucis", me paraît quand même bien vrai. Grand, c'est cher à l'achat et à l'entretien sans compter le racket légal de la
taxe de francisation, et le prix des ports (et quand voius avez un multicoque c'est 1,5 fois le prix, au port !). Trop petit çà
peut devenir limitatif pour le programme... Les multi sont parfaits (pas n'importe lesquels) mais pas pour l'Antarctique, par
exemple compte tenu de leur très grande stabilité inverse ( ! ), les monos n'avancent guère (du moins les monos de
croisière et çà je ne supporte pas indépendamment du fait que transporter du plomb me paraîit une hérésie. Vous
imaginez le nombre de bonnes bouteilles que çà représente ?)...
A chacun son bonheur, l'important c'est de naviguer avec un bateau en accord avec son programme et ses moyens. La
fiabilité et la simplicité sont pour moi des paramètres essentiels (même si mon canot' n'est pas si simple, mais je sais à peu
près tout réparer). Il y a peu de mauvais bateaux mais beaucoup de bateaux utilisés pour un programme inadapté à
leurs caractéristiques...
Bien d'accord pour décrier les bidets actuels qui ne sont pas faits pour naviguer en dehors des 3 semaines d'été, de
marina en marina. Mais... quel confort au port ! Il y a même les rateliers à verres pour l'apéritif dans le cockpit, que
demander de mieux ? D'ailleurs, pourquoi il y a des voiles, c'est cher et on ne les hisse que 2 ou 3 fois par an ... Ces
bateaux peuvent en fait naviguer loin mais quel travail pour les "mariniser" !! Un comble.
Bon vent
Il n'y aura jamais de réponse, conjuguer les dimensions de compte et du rève? Il restera toujours le rève. Tant que l'envie
demeure, le petit plus implique des choix matériels : le compte. L'espoir, le rève, la volonté, la persévérance, le choix ,le temps
ne sont pas quantifiables, ils sont "Le fada salé à coeur". En attendant, "on fait ça qu'on peut, avec ça qu'on a" et cela n'interdit
rien.Surtout le rève.Lunettes(Gaffas)
Et ne jamais oublier le vieil adage qui dit avec grande sagesse... :
"Petit bato, petits problèmes,
Gros bato... GROS problèmes!"...
Vous avez tous raison !
Il y a 5 ans,je suis tombe amoureux au premier coup d'oeuil d'un 53 pieds de 20 ans tres tres bon marche.
Des fois, je reve d'un 6,50 m; d'autre fois avec force 8, je suis content d'avoir ete fou. Mais je reste amoureux de mon bato et
des fois, j'ai l'impression que c'est reciproque.
Jonathan
La taille idéale, c'est le premier a avoir fait la grande boucle qui l'a définie : Seul Autour du monde sur un voilier de 11m Joshua
Slocum.
Istos
je suis assez d'accord avec Istos...
de 35' à 37'. En dessous, c'est faisable bien sur, mais ç'est quand même juste pour une vie à bord permanente.
au dessus, c'est lourd à tous points de vue : manoeuvres, budget, etc...
Pas tout à fait d'accord sur le rapport taille/ difficulté de manoeuvre, avec les progrès réalisés sur l'acastillage un bateau de 16m
A.P.
d'aujourd'hui est certainement plus facile à mener que le 11m de Josua SLOCUM
bonjour,
il faudrait peut-être parler surtout de longueur à la flottaison, ou de déplacement, pour avoir une idée de la difficulté de
manoeuvre: en solitaire ou à deux, il est inutile de dépasser 6 à 8 tonnes de déplacement pour vivre et naviguer au long cours,
avec un bateau raisonnablement moderne mais tolérant à la charge, sans descendre en dessous de 4 à 5 tonnes pour
s'accorder un peu de confort et d'autonomie. En longueur de flottaison, 9 à 11m paraissent convenir.
joyeux Noël
JF Perrouty
Bien sur cela dépend de chacun,et du programe de navigation.
multicoque très bien pour les Antilles.
monocoque beaucoup plus fiable pour un TDM.
Taille entre 35 et 45 ft soit entre 10 et 14 m en dessous c'est trop petit et rique d'être inconfortable à long terme.
Au dessus cela peu devenir dur physiquement en cas de pèpin, genre voile déchirée ou manoeuvre sans moteur ( oui cela arrive
parfois).
Les baquets en plastique du salon demande effectivement à être mariniser sèrieusement avant de prendre la mer .
Enfin je ne suis pas vraiment d'accord avec le vieille adage, petit bateau petits problèmes, gros bateau Gros problème.
lorsque le moteur tombe en panne, que le gouvernail casse,ou que l'étais avant ce détorronne, le problème demeure identique
que ce soit sur un gros ou un petit batau.Seul le budget est difèrent.
Daniel sur ""soham""