"On achève bien les chevaux...
Pourquoi n'euthanasierait-on pas les vieux bateaux ? Tous ceux qui gênent, qui dérangent, qui ne sortent plus, ou pas assez,
les trop délâbrés, les pas-dans-la-norme, etc...
Jusqu'à preuve du contraire, un bateau a un propriétaire. Celui-ci le fait stationner dans un port où il doit payer la place.
Si la clause de stationnement stipule que le bateau doit être à tout moment en état de navigation, c'est au gestionnaire du
port de s'en assurer. Ce n'est pas à un plaisancier tiers d'en juger.
A partir du moment où le propriétaire paye régulièrement l'emplacement, que le bateau navigue ou pas, seule la capitainerie
a le pouvoir d'annuler le contrat en cas précis.
Le propriétaire d'un bateau jugé "épave" par certains est seul à décider s'il veut se séparer de son bateau. En ce cas il
met en vente et la cause est entendue. Dans le cas contraire une fois encore seule la capitainerie, qui a autorité, peut
intervenir pour faire libérer la place, et non un quelconque tiers non-partie prenante.
Pour ma proposition de marché gagnant gagnant, il s'agit d'un accord entre les deux parties:
1- le propriétaire du bateau qui n'est plus en état de naviguer, parce qu'il n'est pas obligatoire que ce soit une épave
2- celui qui va dédommager ce dernier en le debarrassant de son bateau, et éventuellement des droits d'entrée qu'il a eu à
payer.
Parce que dans l'affaire qui bloque la situation : LE PORT.
**************************
Il y a des gens qui ont un bateau qui n'est plus en état de naviguer et qui ne savent pas quoi en faire, mais qui aimeraient bien
récupérer les droits d'entrée qu'ils ont payés.
Il y a d'un autre coté des gens qui ont un bateau et qui aimeraient bien disposer d'une place au port.
citation : "Parce que dans l'affaire qui bloque la situation : LE PORT."
voila le bouc émissaire... Pourtant "le port" ne fait que s'acquitter du paiement de la place d'une part, d'autre part si
cela est dans le réglement intérieur de l'état de navigabilité (le cas échéant).
Les "vraies" épaves très délabrées sont très rares dans un port de plaisance. On peut donc supposer que les capitaineries
font correctement leur travail de nettoyage quand les états limites sont atteints.
Il en va autrement de ces bateaux qui sortent très peu, voire jamais, aux ponts moussus et drisses verdies. Les
propriétaires de ceux-ci sont libres de l'utilisation qu'ils en font.
Dans l'optique proposée, il faudrait "dédommager" le propriétaire. Cela s'appelle un achat ! A condition que ledit
propriétaire veuille vendre...
Et dans le cas où cela se fait, cela libère une place, qui sera attribuée à celui qui est en liste d'attente, et non à
l'acheteur de l'épave.
Sinon on tomberait dans le cas caricatural décrit plus haut par l'absurde, où des "épaves" ou assimilées s'acheteraient à
prix d'or par des demandeurs aisés, passant ainsi devant ceux qui attendent un emplacement depuis fort longtemps.
il faudrait d'abord définir ce qu'est au juste un "bateau-épave".
normalement une épave n'est non seulement plus en état de naviguer, mais déclarée comme telle elle n'en a plus le droit.
Comme déjà dit, cela se trouve très rarement (voire pas) dans un port de plaisance.
Sans doute y-a-t'il confusion avec "bateau-ventouse", ceux qui ne sortent que très rarement voire jamais. C'est un autre
problème. Jusqu'à preuve du contraire, on ne peut contraindre un propriétaire à l'utilisation de son bateau.
Même s'il est compréhensible que cet état de fait puisse déplaire à ceux qui attendent un emplacement en pensant faire
naviguer leur bateau le plus souvent... possible.!
Mais attention : on peut toujours se trouver la "ventouse" d'un autre !
plus simplement et sans jouer sur les mots, s'il y avait un droit d'entrée transmissible, celui qui ne veut plus de son bateau pour
une raison ou pour une autre, pourrait ceder son droit à un prix fixé par une convention à celui qui est pret à l'acheter.
De là, il est certain que l'on peut envisager les situations les plus roccambolesques.
Mais si vous pouvez exposer d'autres SOLUTIONS et non pas des problèmes, je suis preneur !
Si je possédais le même bateau que toi (et j'aimerais bien !) je n'aurais certainement ni guindeau, ni kilomètres de chaîne, et
comme toi j'apprécierais les endroits équipés de bouées. Ne sois pas étonné qu'un certain nombre d'entre nous pensent
autrement sur STW "le site de la grande croisière". On imagine mal faire le tour du monde des baies équipés de bouées ou bien
le nombre d?escales serait assez restreint.
Plus haut je peste contre un projet d'installation de bouées qui diminuerait le nombre de places devant la marina Taina (tu
connais peut être si tu as eu la chance d'être affecté à Tahiti) Pourquoi parler de cela sur ce fil ? Parce qu'ici à Tahiti il y a
beaucoup d'épaves de bateau (et non pas de bateaux épaves) sur l'eau, y compris quelques-unes à quai. Je suppose que la
plupart de ces épaves appartiennent à des "tourdumondistes" qui n'ont plus les moyens de les entretenir. Il n?y a pas
d?alternative pour ces bateaux, ils vont pourrir et couler. Il y a déjà 17 épaves de voilier dans le lagon devant la digue de Motu
Uta par une vingtaine de mètres.
D'un coté le manque de place, de l'autre un cimetière marin à quai ou au mouillage, je trouve la proposition de Philomène
intéressante dans la mesure où personne ne fait rien.
concernant les "épaves", il semble bien qu'avec les matériaux modernes, polyester notamment, l'état provienne
essentiellement d'un manque d'entretien.
Drisses verdies, coque barbue et pont moussu n'ont rien de dramatique ! Ce ne sont là que témoignages d'une sous-utilisation
manifeste, qu'un bon nettoyage suffira à effacer.
Plus gênantes (et onéreuses) seront des traces d'osmose. Mais là encore il serait peut-être hâtif de porter des jugements
définitifs.
je félicitais tout dernièrement le propriétaire d'un Safari de Dufour de 1974. On l'aurait crû juste sorti de chantier ! Et
qui n'a jamais vu une de ces séries anciennes amoureusement entretenues ?
Alors n'ouvrons pas trop vite la chasse aux "épaves", dont l'état n'est que temporaire, cela pour justifier la construction,
donc la mise sur le marché et la recherche d'emplacement, d'unités neuves dont pour pas mal l'utilisation plus intensive
n'est pas certaine...
Accepterais-tu que je t'envoie quelques photos d'un bateau qui occupe une place de port et dont le propriétaire ne paye plus
depuis des lustes afin que tu me dises, à moi, tout ignorant que je suis, si l'on peut considèrer qu'il s'agit bien d'une épave ?
Quelques uns de la minorité ignorante ont décrété qu'il s'agissait d'une épave et l'ont sorti de l'eau. Maintenant, il n'occupe plus
qu'une place à terre.
si le propriétaire ne payait plus ses droits d'amarrage, nul besoin que le bateau soit techniquement et légalement une épave
pour qu'il soit mis à terre d'office par l'autorité portuaire.
Un bateau qu'il soit épave ou pas dont le propriétaire ne paye pas ,il n'y a pas besoin de photos , c'est le capitaine du
port qui ne fait pas son travail ,il en est de même si l'épave est dangereuse pour autrui .
Je pense que si philomene veut trouver des adhérants il pour son association , il devrait trouver des sujets un peu plus
intelligents . Cela n'incite pas à le rejoindre.
Dans le même ordre d'idées je songe à créer une association pour la démolition de toutes bâtisses en ruine (châteaux inclus
) on connaît tous la difficulté de trouver des terrains pour la construction . Je fixe pour la première année ,la cotisation
à 500 euros ,venez nombreux.
Si je trouve un beau terrain avec une ruine dessus que le propriétaire est d'accord pour me vendre son terrain, à moi de faire
mon affaire de la ruine.
Pour philomène à propos de l'enquête publique en cours:
PLus efficace qu'une pétition, je te recommande de participer très activement à l'enquête publique, et de réclamer des rapports
d'experts.
Ensuite, procéduralement, vous aurez l'occasion de saisir le TA en annulation de la décision qui pourrait être prise par la mairie.
Mais à condition d'établir l'erreur manifeste commise dans l'enquête publique. Car le TA n'est pas juge de l'opportunité (si la
mairie a le choix entre plaire aux plaisanciers ou aux industriels du tourisme, et que les deux choix sont "légaux", le TA n'y peux
rien).
Pense à présenter un bilan coûts/avantages de l'opération. L'enquête doit faire ressortir un bilan favorable. A toi de présenter
les inconvénients (économique, sociologique, environnemental, culturel....) de l'opération envisagée.
Tu écris : si le propriétaire ne payait plus ses droits d'amarrage, nul besoin que le bateau soit techniquement et légalement une
épave pour qu'il soit mis à terre d'office par l'autorité portuaire.
Pas si sûr car le port autonome a mis au moins trois ans, dix ans aux dires des plus anciens avant de ne rien faire du tout. En
effet c?est le propriétaire qui probablement sous la pression a finalement décidé de le sortir de l?eau. Il souhaitais le remettre en
état? Puis-je également t?envoyer les photos afin que tu juges par toi même s?il s?agit bien d?une épave ? Il finira au fond du
lagon avec les dix-sept autres devant la digue de Motu Uta. Si j?étais certain de pouvoir prendre la place qu?il occupait, je
m?arrangerais bien avec le ferrailleur du coin pour le faire débiter à mes frais et qu?il n?aille pas dans le lagon par une nuit sans
lune.
Dans le même style, René tu écris :
Un bateau qu'il soit épave ou pas dont le propriétaire ne paye pas ,il n'y a pas besoin de photos , c'est le capitaine du port qui
ne fait pas son travail ,il en est de même si l'épave est dangereuse pour autrui .
Oui je suis d?accord avec toi quelqu?un ne fait pas bien son travail, c?est pourquoi je trouve l?idée de Philomène intéressante
(gagnant ? gagnant) dans la mesure où elle permettrait d?accélérer la procédure.
C?est un tout autre sujet, mais heureusement que certaines maisons en ruines sont rasées pour permettre d?en construire des
neuves à la place. Ne soyons pas stupide, je ne parle ni de Chambord, ni de Chenonceaux.
Renaud, tu écris :
Par ailleurs, je me permets de vous faire remarquer que les places à terre manquent aussi.
Eh oui, maintenant ce bateau dont tu ne m?as toujours pas dis si tu acceptais que je t?envoie les photos afin de juger par toi
même s?il s?agit bien d?une épave occupe une place à terre? en face du mien.
Tu as écris aussi :
Faire du nettoyage par le vide ne peut s'appliquer que dans des circonstances bien particulières.
Je suis d?accord avec toi et à mon avis c?est plus sage que de traiter ceux qui ne pensent pas comme toi d?ignorant dans ta
première intervention.
Enfin si quelqu?un d?autre veux que je lui envoie les fameuses photos, ce sera avec grand plaisir.
Amicalement à tous,
Marc
ps : pour le webmaster, cela devient vraiment difficile de consulter ce fil jusqu'au bout. J'ai dû m'y reprendre à six fois pour
l'avoir en entier. Faites plusieurs pages svp.
"On achève bien les chevaux...
Pourquoi n'euthanasierait-on pas les vieux bateaux ? Tous ceux qui gênent, qui dérangent, qui ne sortent plus, ou pas assez,
les trop délâbrés, les pas-dans-la-norme, etc...
Jusqu'à preuve du contraire, un bateau a un propriétaire. Celui-ci le fait stationner dans un port où il doit payer la place.
Si la clause de stationnement stipule que le bateau doit être à tout moment en état de navigation, c'est au gestionnaire du
port de s'en assurer. Ce n'est pas à un plaisancier tiers d'en juger.
A partir du moment où le propriétaire paye régulièrement l'emplacement, que le bateau navigue ou pas, seule la capitainerie
a le pouvoir d'annuler le contrat en cas précis.
Le propriétaire d'un bateau jugé "épave" par certains est seul à décider s'il veut se séparer de son bateau. En ce cas il
met en vente et la cause est entendue. Dans le cas contraire une fois encore seule la capitainerie, qui a autorité, peut
intervenir pour faire libérer la place, et non un quelconque tiers non-partie prenante.
Voila ce que j'ai écrit en début :
Pour ma proposition de marché gagnant gagnant, il s'agit d'un accord entre les deux parties:
1- le propriétaire du bateau qui n'est plus en état de naviguer, parce qu'il n'est pas obligatoire que ce soit une épave
2- celui qui va dédommager ce dernier en le debarrassant de son bateau, et éventuellement des droits d'entrée qu'il a eu à
payer.
Parce que dans l'affaire qui bloque la situation : LE PORT.
**************************
Il y a des gens qui ont un bateau qui n'est plus en état de naviguer et qui ne savent pas quoi en faire, mais qui aimeraient bien
récupérer les droits d'entrée qu'ils ont payés.
Il y a d'un autre coté des gens qui ont un bateau et qui aimeraient bien disposer d'une place au port.
Personne dans l'affaire ne doit être lésé.
Que faire ?
Merci de ne pas déformer le fil.
citation : "Parce que dans l'affaire qui bloque la situation : LE PORT."
voila le bouc émissaire... Pourtant "le port" ne fait que s'acquitter du paiement de la place d'une part, d'autre part si
cela est dans le réglement intérieur de l'état de navigabilité (le cas échéant).
Les "vraies" épaves très délabrées sont très rares dans un port de plaisance. On peut donc supposer que les capitaineries
font correctement leur travail de nettoyage quand les états limites sont atteints.
Il en va autrement de ces bateaux qui sortent très peu, voire jamais, aux ponts moussus et drisses verdies. Les
propriétaires de ceux-ci sont libres de l'utilisation qu'ils en font.
Dans l'optique proposée, il faudrait "dédommager" le propriétaire. Cela s'appelle un achat ! A condition que ledit
propriétaire veuille vendre...
Et dans le cas où cela se fait, cela libère une place, qui sera attribuée à celui qui est en liste d'attente, et non à
l'acheteur de l'épave.
Sinon on tomberait dans le cas caricatural décrit plus haut par l'absurde, où des "épaves" ou assimilées s'acheteraient à
prix d'or par des demandeurs aisés, passant ainsi devant ceux qui attendent un emplacement depuis fort longtemps.
Voila pourquoi il y a des bateaux épave dans les ports !
CQFD
il faudrait d'abord définir ce qu'est au juste un "bateau-épave".
normalement une épave n'est non seulement plus en état de naviguer, mais déclarée comme telle elle n'en a plus le droit.
Comme déjà dit, cela se trouve très rarement (voire pas) dans un port de plaisance.
Sans doute y-a-t'il confusion avec "bateau-ventouse", ceux qui ne sortent que très rarement voire jamais. C'est un autre
problème. Jusqu'à preuve du contraire, on ne peut contraindre un propriétaire à l'utilisation de son bateau.
Même s'il est compréhensible que cet état de fait puisse déplaire à ceux qui attendent un emplacement en pensant faire
naviguer leur bateau le plus souvent... possible.!
Mais attention : on peut toujours se trouver la "ventouse" d'un autre !
plus simplement et sans jouer sur les mots, s'il y avait un droit d'entrée transmissible, celui qui ne veut plus de son bateau pour
une raison ou pour une autre, pourrait ceder son droit à un prix fixé par une convention à celui qui est pret à l'acheter.
De là, il est certain que l'on peut envisager les situations les plus roccambolesques.
Mais si vous pouvez exposer d'autres SOLUTIONS et non pas des problèmes, je suis preneur !
( raison du sujet )
bonjour cartahu"t",
anonyme, peut-être, mais plein de bon sens.
bonnes navigations
JF Perrouty
Bonjour Jean-François,
Si je possédais le même bateau que toi (et j'aimerais bien !) je n'aurais certainement ni guindeau, ni kilomètres de chaîne, et
comme toi j'apprécierais les endroits équipés de bouées. Ne sois pas étonné qu'un certain nombre d'entre nous pensent
autrement sur STW "le site de la grande croisière". On imagine mal faire le tour du monde des baies équipés de bouées ou bien
le nombre d?escales serait assez restreint.
Plus haut je peste contre un projet d'installation de bouées qui diminuerait le nombre de places devant la marina Taina (tu
connais peut être si tu as eu la chance d'être affecté à Tahiti) Pourquoi parler de cela sur ce fil ? Parce qu'ici à Tahiti il y a
beaucoup d'épaves de bateau (et non pas de bateaux épaves) sur l'eau, y compris quelques-unes à quai. Je suppose que la
plupart de ces épaves appartiennent à des "tourdumondistes" qui n'ont plus les moyens de les entretenir. Il n?y a pas
d?alternative pour ces bateaux, ils vont pourrir et couler. Il y a déjà 17 épaves de voilier dans le lagon devant la digue de Motu
Uta par une vingtaine de mètres.
D'un coté le manque de place, de l'autre un cimetière marin à quai ou au mouillage, je trouve la proposition de Philomène
intéressante dans la mesure où personne ne fait rien.
Marc
tu le donne
C'est une solution, mais sous réserve que le port accepte de te décharger du bateau avant qu'il ne récupère la place....
bonjour,
concernant les "épaves", il semble bien qu'avec les matériaux modernes, polyester notamment, l'état provienne
essentiellement d'un manque d'entretien.
Drisses verdies, coque barbue et pont moussu n'ont rien de dramatique ! Ce ne sont là que témoignages d'une sous-utilisation
manifeste, qu'un bon nettoyage suffira à effacer.
Plus gênantes (et onéreuses) seront des traces d'osmose. Mais là encore il serait peut-être hâtif de porter des jugements
définitifs.
je félicitais tout dernièrement le propriétaire d'un Safari de Dufour de 1974. On l'aurait crû juste sorti de chantier ! Et
qui n'a jamais vu une de ces séries anciennes amoureusement entretenues ?
Alors n'ouvrons pas trop vite la chasse aux "épaves", dont l'état n'est que temporaire, cela pour justifier la construction,
donc la mise sur le marché et la recherche d'emplacement, d'unités neuves dont pour pas mal l'utilisation plus intensive
n'est pas certaine...
Bonjour Renaud,
Accepterais-tu que je t'envoie quelques photos d'un bateau qui occupe une place de port et dont le propriétaire ne paye plus
depuis des lustes afin que tu me dises, à moi, tout ignorant que je suis, si l'on peut considèrer qu'il s'agit bien d'une épave ?
Quelques uns de la minorité ignorante ont décrété qu'il s'agissait d'une épave et l'ont sorti de l'eau. Maintenant, il n'occupe plus
qu'une place à terre.
Marc
bonjour,
si le propriétaire ne payait plus ses droits d'amarrage, nul besoin que le bateau soit techniquement et légalement une épave
pour qu'il soit mis à terre d'office par l'autorité portuaire.
pas sûr donc qu'il s'agisse d'une épave
bonnes navigations
JF Perrouty
Bonjour coco'n co
Un bateau qu'il soit épave ou pas dont le propriétaire ne paye pas ,il n'y a pas besoin de photos , c'est le capitaine du
port qui ne fait pas son travail ,il en est de même si l'épave est dangereuse pour autrui .
Je pense que si philomene veut trouver des adhérants il pour son association , il devrait trouver des sujets un peu plus
intelligents . Cela n'incite pas à le rejoindre.
Dans le même ordre d'idées je songe à créer une association pour la démolition de toutes bâtisses en ruine (châteaux inclus
) on connaît tous la difficulté de trouver des terrains pour la construction . Je fixe pour la première année ,la cotisation
à 500 euros ,venez nombreux.
Wayan
Et pourquoi pas ?
Si je trouve un beau terrain avec une ruine dessus que le propriétaire est d'accord pour me vendre son terrain, à moi de faire
mon affaire de la ruine.
Pourqui ca te dérange ?
Pour philomène à propos de l'enquête publique en cours:
PLus efficace qu'une pétition, je te recommande de participer très activement à l'enquête publique, et de réclamer des rapports
d'experts.
Ensuite, procéduralement, vous aurez l'occasion de saisir le TA en annulation de la décision qui pourrait être prise par la mairie.
Mais à condition d'établir l'erreur manifeste commise dans l'enquête publique. Car le TA n'est pas juge de l'opportunité (si la
mairie a le choix entre plaire aux plaisanciers ou aux industriels du tourisme, et que les deux choix sont "légaux", le TA n'y peux
rien).
Pense à présenter un bilan coûts/avantages de l'opération. L'enquête doit faire ressortir un bilan favorable. A toi de présenter
les inconvénients (économique, sociologique, environnemental, culturel....) de l'opération envisagée.
Bon courage,
Ariel
Merci de tes conseils Ariel.
Il s'agit là d'un site classé, la procédure est un peu différente, mais pour le principal reste identique.
Nous fairons du live pour en faire profiter ce que ca interesse.
L'enquete doit commencer en septembre.
On va mettre les harnais...
Jean-François,
Tu écris : si le propriétaire ne payait plus ses droits d'amarrage, nul besoin que le bateau soit techniquement et légalement une
épave pour qu'il soit mis à terre d'office par l'autorité portuaire.
Pas si sûr car le port autonome a mis au moins trois ans, dix ans aux dires des plus anciens avant de ne rien faire du tout. En
effet c?est le propriétaire qui probablement sous la pression a finalement décidé de le sortir de l?eau. Il souhaitais le remettre en
état? Puis-je également t?envoyer les photos afin que tu juges par toi même s?il s?agit bien d?une épave ? Il finira au fond du
lagon avec les dix-sept autres devant la digue de Motu Uta. Si j?étais certain de pouvoir prendre la place qu?il occupait, je
m?arrangerais bien avec le ferrailleur du coin pour le faire débiter à mes frais et qu?il n?aille pas dans le lagon par une nuit sans
lune.
Dans le même style, René tu écris :
Un bateau qu'il soit épave ou pas dont le propriétaire ne paye pas ,il n'y a pas besoin de photos , c'est le capitaine du port qui
ne fait pas son travail ,il en est de même si l'épave est dangereuse pour autrui .
Oui je suis d?accord avec toi quelqu?un ne fait pas bien son travail, c?est pourquoi je trouve l?idée de Philomène intéressante
(gagnant ? gagnant) dans la mesure où elle permettrait d?accélérer la procédure.
C?est un tout autre sujet, mais heureusement que certaines maisons en ruines sont rasées pour permettre d?en construire des
neuves à la place. Ne soyons pas stupide, je ne parle ni de Chambord, ni de Chenonceaux.
Renaud, tu écris :
Par ailleurs, je me permets de vous faire remarquer que les places à terre manquent aussi.
Eh oui, maintenant ce bateau dont tu ne m?as toujours pas dis si tu acceptais que je t?envoie les photos afin de juger par toi
même s?il s?agit bien d?une épave occupe une place à terre? en face du mien.
Tu as écris aussi :
Faire du nettoyage par le vide ne peut s'appliquer que dans des circonstances bien particulières.
Je suis d?accord avec toi et à mon avis c?est plus sage que de traiter ceux qui ne pensent pas comme toi d?ignorant dans ta
première intervention.
Enfin si quelqu?un d?autre veux que je lui envoie les fameuses photos, ce sera avec grand plaisir.
Amicalement à tous,
Marc
ps : pour le webmaster, cela devient vraiment difficile de consulter ce fil jusqu'au bout. J'ai dû m'y reprendre à six fois pour
l'avoir en entier. Faites plusieurs pages svp.
Pages