Waderrick well
Que dire quand on se trouve déjà dans l'eau somptueuse et que l'on vient dans un parc protéger dans ce même espace !!! Le paysage est vraiment magnifique, l'eau claire ou l'on voit les lignes dans le sable à 10 mètres de profondeur. Nous avons fait avec marilyne du snorkling, rien de plus au niveau poisson que ce que j'ai pu voir dans les autres endroits des exumas mais une petite grotte qui nous permis de passer à travers une île avec pas mal de courant nous à vraiment beaucoup amusé. Nous avons bien sur déposé notre noms de bateau au sommet de Boo Boo Hill, en compagnie de nos amis de Jayana. Nous avons fais l'activité de confection avec les enfants chaqu'un de notre coté et ca à donné qu'ils s'encastrent à la manière des médaillons des cité d'or !!! (Louvia et milia recherchent les cités d'or au cours du voyage).
Nous devions partir pour Staniel Cay mais comme on a pris notre temps ce matin le timing aurait été un peu serré. Nous avons un vent de 20 nœuds au mouillage dans pas beaucoup d'eau donc pas trop de vague et une abondance d'électricité grâce à l'éolienne.
Dans les pensées du jours en voilà une que je partage car je la trouve très éclairante sur notre condition d 'être humain. Au cours du voyage je chasse les poissons et langoustes pour nous nourrir. Depuis que louvia les voit mort et en train de se faire préparer elle aime un peu moins le poisson. C'est vrai que moi aussi ça me fait une pincée dans le cœur quant je ressent la vie du poisson en train de partir au bout de la flèche. Il y'a comme un combat idéologique entre l’excitation de chasser et d'attraper sa proie, la nécessite de ramener des protéines pour se nourrir et le fait d'enlever une vie sur cette terre. Je comprend beaucoup mieux les peuples aborigène qui remercient l'animal de son sacrifice pour leur permettre de vivre, car je fait la même chose. On nous répète quant on est petit de devoir finir notre assiette car tel ou tel peuple loin de nous que nous avons pu imaginé à la télé ne mange pas à leur faim et on doit donc finir notre assiette, peut être que si on se conscientisé un peu plus sur le fait qu'un animal offre sa vie de gré ou de force pour nous permettre de continuer à être sur la terre on aurait plus de respect pour le steak que l'on à dans notre assiette. Mais on est coupé de cette réalité par les étalages de super marché et les personnes qui font les préparations des animaux propre à la consommation le font machinalement. Comment peuvent ils le faire autrement ressentir toutes ses vies qui s'en vont de cette enveloppe physique vient crée un pincement au cœur et si jamais on est pas sur de pourquoi on le fait alors la souffrance d’ôter la vie doit être extrêmement perturbante pour la conscience. Nous savons que nous sommes au sommet de l’échelle alimentaire mondiale, les prédateurs parfait, peut être se sera dans cette conscience de la vie que nous pourrons nous limiter dans notre gain de chasse et d'extermination.
jerome
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Anonyme (not verified)
13 February 2013 - 12:00am
Je suis bien d'accord avec ta