A signaler aussi un mouillage plus proche de Hamilton sous White Island par 32°17.175N et 064°47.173W et 8,5 m d?eau. En
tout cas, éviter la marina du Royal Bermuda Yacht Club à Hamilton. Les planchers et les meubles sont cirés, les cuivres
resplendissants, le confort est de type club british époque victorienne, et les membres portent chemise, cravate et?
bermuda, of course. Mais les visiteurs doivent s?amarrer à l?extérieur du môle (exposé au clapot du trafic et au vent
traversier), mouiller une ancre, et utiliser des sanitaires réservés dans un sous-sol un peu glauque. Et payer 3$ par pied
et par jour.
A regarder la carte, il y a beaucoup de jolis coins abrités dans le Great Sound. Le problème est la densité de bateaux qui
occupent en permanence ces mouillages sur des bouées privées et la densité des résidences privées sur la côte. Le bon
compromis reste St George Harbour, où on peut débarquer facilement et louer un scooter, l?idéal pour visiter les Bermudes
sur les petites routes étroites et sinueuses où la vitesse est limitée à 35 km/h. Si on s?éloigne de la rue centrale de St
George Town, qui est en effet envahie de magasins pour les touristes des paquebots, on trouve une vieille cité inscrite au
patrimoine de l?humanité de l?UNESCO, avec 4 siècles d?histoire dans ses pierres. L?ensemble des Bermudes est un cocktail
unique d?Angleterre victorienne et de Suisse avec un zeste de Bretagne, le tout coloré à la mode antillaise. Voir aussi le
Royal Naval Dockyard (« le Gibraltar de l?Ouest »), un chantier naval entièrement fortifié qui traita jusqu?à 750 navires
par an.
Sur le plan formalités, à signaler également la nécessité de s?annoncer en VHF avant de débarquer. Bermuda Radio dont la VHF
porte à 100 milles veille nuit et jour et repère les voiliers à l?approche. Cette station est par ailleurs un modèle de
professionnalisme, qui va jusqu?à adapter sa diction au niveau d?anglais de celui qui leur demande une info, un guidage ou
un service.
A signaler aussi un mouillage plus proche de Hamilton sous White Island par 32°17.175N et 064°47.173W et 8,5 m d?eau. En
tout cas, éviter la marina du Royal Bermuda Yacht Club à Hamilton. Les planchers et les meubles sont cirés, les cuivres
resplendissants, le confort est de type club british époque victorienne, et les membres portent chemise, cravate et?
bermuda, of course. Mais les visiteurs doivent s?amarrer à l?extérieur du môle (exposé au clapot du trafic et au vent
traversier), mouiller une ancre, et utiliser des sanitaires réservés dans un sous-sol un peu glauque. Et payer 3$ par pied
et par jour.
A regarder la carte, il y a beaucoup de jolis coins abrités dans le Great Sound. Le problème est la densité de bateaux qui
occupent en permanence ces mouillages sur des bouées privées et la densité des résidences privées sur la côte. Le bon
compromis reste St George Harbour, où on peut débarquer facilement et louer un scooter, l?idéal pour visiter les Bermudes
sur les petites routes étroites et sinueuses où la vitesse est limitée à 35 km/h. Si on s?éloigne de la rue centrale de St
George Town, qui est en effet envahie de magasins pour les touristes des paquebots, on trouve une vieille cité inscrite au
patrimoine de l?humanité de l?UNESCO, avec 4 siècles d?histoire dans ses pierres. L?ensemble des Bermudes est un cocktail
unique d?Angleterre victorienne et de Suisse avec un zeste de Bretagne, le tout coloré à la mode antillaise. Voir aussi le
Royal Naval Dockyard (« le Gibraltar de l?Ouest »), un chantier naval entièrement fortifié qui traita jusqu?à 750 navires
par an.
Sur le plan formalités, à signaler également la nécessité de s?annoncer en VHF avant de débarquer. Bermuda Radio dont la VHF
porte à 100 milles veille nuit et jour et repère les voiliers à l?approche. Cette station est par ailleurs un modèle de
professionnalisme, qui va jusqu?à adapter sa diction au niveau d?anglais de celui qui leur demande une info, un guidage ou
un service.