@Danielloui
Comme skipper, j'acquiesce à 100%100, et ça fait beaucoup!
Mais mon irremplaçable moitié a montré quelques réserves. Je m'attend au pire ce soir si je veux tirer. .....des bords. Mais est-ce bien nécessaire d'être aussi carré? Cela me rend triste, qui suis adepte des brises évanescentes, des couchers de soleil au parfum de rhum, et des mains douces sur des peaux soyeuses...
Tu as raison, tout à fait raison. Et ça m'énerve. Donc ?Et bien cet excès de sociabilité m'a amené à quelquefois partir seul. Quand même, partir avec un ami, un vrai, ça n'a pas de prix. Et quel placement de raconter aux autres! Bénéfice assuré!
Nous autorises-tu à copier ta table de la LOI pour affichage juste au pied de la descente? Les langues vont se délier et chauffer, va falloir les humidifier: in vino veritas.
Amicalement, et le reste.
Méridien a écrit :
@Danielloui
Comme skipper, j'acquiesce à 100%100, et ça fait beaucoup!
Mais mon irremplaçable moitié a montré quelques réserves. Je m'attend au pire ce soir si je veux tirer. .....des bords. Mais est-ce bien nécessaire d'être aussi carré? Cela me rend triste, qui suis adepte des brises évanescentes, des couchers de soleil au parfum de rhum, et des mains douces sur des peaux soyeuses...
Tu as raison, tout à fait raison. Et ça m'énerve. Donc ?Et bien cet excès de sociabilité m'a amené à quelquefois partir seul. Quand même, partir avec un ami, un vrai, ça n'a pas de prix. Et quel placement de raconter aux autres! Bénéfice assuré!
Nous autorises-tu à copier ta table de la LOI pour affichage juste au pied de la descente? Les langues vont se délier et chauffer, va falloir les humidifier: in vino veritas.
Amicalement, et le reste.
Moi aussi je suis un adepte des croisières agréables et sans problème ; c'est pourquoi je n'ai pas trouvé d'autre moyen que de bien encadrer les rapports par avance ; ça évite toutes les discussions stériles après incident.
ALORS, BIEN EVIDEMMENT, AUTORISATION D'USAGE ACCORDÉE A TOUS CEUX QUI SONT INTÉRESSÉS !
Danielloui a écrit :
suite à mon intervention précédente présentant un modèle de règles pour les équipiers, ci-joint une mouture plus complète destinée à une Bourse
Bonjour à tous
Et... on se léve et se couche au son du clairon
Waouuuuuh..... Mais dis moi, si l'gôôs y signe et réspecte pas ? La bonne vieille méthode peut être, la planche comme dans bon vieux temps alors....
Danielloui a écrit :
suite à mon intervention précédente présentant un modèle de règles pour les équipiers, ci-joint une mouture plus complète destinée à une Bourse
Bonjour à tous
Et... on se léve et se couche au son du clairon
Waouuuuuh..... Mais dis moi, si l'gôôs y signe et réspecte pas ? La bonne vieille méthode peut être, la planche comme dans bon vieux temps alors....
Pascal.....
.
Pascal, tu n'es qu'une brute... On respecte la procédure d'abord:
Danielloui a écrit :
suite à mon intervention précédente présentant un modèle de règles pour les équipiers, ci-joint une mouture plus complète destinée à une Bourse
Bonjour à tous
Et... on se léve et se couche au son du clairon
Waouuuuuh..... Mais dis moi, si l'gôôs y signe et réspecte pas ? La bonne vieille méthode peut être, la planche comme dans bon vieux temps alors....
Plus sérieusement, à lire les interventions ça et là, on peut supposer que beaucoup des intervenants n'ont aucune idée de leurs obligations ENVERS LES EQUIPIERS EMBARQUÉS.
Ils pourront reparler de leurs expériences quand ils auront eu une fois à financer le retour d'un équipier, ou à assumer l'immobilisation de leur bateau à l'étranger quand simplement du schitt aura été trouvé à bord.
Partir avec des équipiers inconnus, c'est autre chose que de partir avec la famille ou des amis connus de longue date ; on rencontre de tout, même pour une nav de quelques jours ; la plupart du temps, on s'en accomode, mais quelquefois le débarquement d'un individu est indispensable pour la santé mentale du reste de l'équipage.
Et j'pourrai embarquer ma p'tite rincette de 3 litres de rhum que j'avais planquée dans le double fond mon sac?
Pour ce chapitre, j'assume et c'est offert gracieusement par le skipper... Dernièrement, on a descendu à deux, en un mois, trois litres de ARDBEG achetés à Islay , et pas du moins bon, à 60 £ le litre !
Plus sérieusement, il faut bien distinguer entre les règles en navigation, quand de la santé et de la clairvoyance d'un seul dépend la vie de tous les autres,
et la totale liberté qui est laissée à l'équipage lors des escales, lequel vit alors sa vie, et c'est très bien comme ça !
Finistere a écrit :
Bonjour.
Dans V&V, vous indiquez que les bourses aux équipiers vontt se sophistiquer.
quand est-il de la bourse STW ? Va-t'elle évoluer ?
Et pardon d'être (encore ?) "désagréable", mais depuis le temps que l'on attend de l'évolution ici... c'est peut-être ça qui rend "amère" !
... c'est mieux que !
Tu as raison : l'immobiliste est roi au sein de STW ; soit on doute de la volonté de faire avancer les sujets côté Direction, soit on doute de la compétence des mêmes, soit on suppose une volonté délibérée de faire couler la boutique....
Sur le plan de la Bourse des Equipiers, objectif atteint : on est nettement dépassé en termes de fréquentation par d'autres sites comme Hisse et Ho ou VOGAVECMOI
Bientôt, il ne nous restera plus qu'à passer un accord de partenariat avec l'un ou l'autre (au moins un l'a déjà proposé !) et on perdra encore un pan de notre indépendance ; mais après tout, si c'est pour l'efficacité, pourquoi pas ?
Et j'pourrai embarquer ma p'tite rincette de 3 litres de rhum que j'avais planquée dans le double fond mon sac?
Pour ce chapitre, j'assume et c'est offert gracieusement par le skipper... Dernièrement, on a descendu à deux, en un mois, trois litres de ARDBEG achetés à Islay , et pas du moins bon, à 60 £ le litre !
Plus sérieusement, il faut bien distinguer entre les règles en navigation, quand de la santé et de la clairvoyance d'un seul dépend la vie de tous les autres,
et la totale liberté qui est laissée à l'équipage lors des escales, lequel vit alors sa vie, et c'est très bien comme ça !
Bonsoir...
Tu sais, ce n'est que de l'humour, en plus je serais plutôt Vodka, et surtout, chacun fait ce qu'il pense être le mieux dans son rafiot, et je crois pas qu'un morceau de torche cul changerait quelque chose. Quand t'as une buse à bord, même si elle à signé ton papier, tu n'as qu'une solution et je pense pas qu'il y ait à dicuter quoi ce soit ou alors c'est toi le nanard... Mais bon des fois c'est pas simple...
Pascal
C'est quoi déjà le sujet ? Ah oui, "comment débarquer un équipier."
STW nous montre peut-être comment faire : rester à la cape, quelques soient les commentaires et les critiques, ne rien répondre, ne rien faire, et les équipiers débarqueront d'eux-mêmes.
Le problème est que ce ne sont pas les pires qui partent les premiers !
La dernière fois que j'ai eu un équipier pas très "en phase" avec moi, et nous n'étions que deux, en acceptant de prendre 50 % de la responsabilité de cette "mésentante" à mon compte, nous en avons parlé et je lui ai dit que si on continuait ainsi il débarquerait au Majorque (nous venions d'Alicante et étions à Ibiza), ce n'est quand même pas au cap'tain de quitter son navire...
Du coup il a mis de l'eau dans son vin, moi des glaçons dans mon rhum, et ça a tenu jusqu'à Barcelone, destination finale prévue pour lui.
Le dialogue reste le meilleurs des moyens pour régler toute ZIZANIE à bord.
Tu as raison ; il faut pouvoir, de temps à autre, s'accomoder de situations pourtant éprouvantes ; mais après tout, c'est le skipper qui a pris la responsabilité de requérir des équipiers ; c'est donc à lui d'assumer.
Il y a deux ans, un gus est arrivé à bord ; ma femme et moi l'avons immédiatement surnommé entre nous Mr PICHON (ref : le dîner de cons) , tant ce type était maladroit, stupide dans ses décisions et ses initiatives, inexpérimenté, et de plus malade 80 % du temps ; en résumé, à surveiller comme le lait sur le feu !
On a passé une huitaine de jours ensemble, le temps de gagner la Cornouaille anglaise, où il a débarqué de sa propre initiative ; Ouf !
Mais tout ceci est compensé par de bonnes relations avec des équipiers qui sont devenus des amis ; la vie n'est faite que d'imprévus.
Danielloui a écrit :
Tu as raison ; il faut pouvoir, de temps à autre, s'accomoder de situations pourtant éprouvantes ; mais après tout, c'est le skipper qui a pris la responsabilité de requérir des équipiers ; c'est donc à lui d'assumer.
.../...
Salut Daniel,
Pas tout à fait d'accord sur cette "responsabilité" du skipper. Personne n'oblige l'équipier à embarquer, et de mon côté je "propose". Dans le cas cité plus haut, c'est l'équipier lui-même qui m'avait sollicité après avoir trouvé mon blog, je n'avais passé aucune annonce.
Donc, pour moi, l'équipier est lui aussi "responsable" d'une bonne ambiance à bord, et surtout 100 % responsable de son comportement.
J'oserai même dire, après avoir longtemps navigué en club où il faut louer des bateaux et partager tous les frais, qu'un équipier profitant d'une croisière "à pas cher" se devrait d'être "redevable" vis à vis du skipper (ou du bateau).
Mes équipiers "fidèles", ceux qui reviennent, ont toujours un ti cadeau dans leur bagage.
Il m'est aussi arrivé d'embarquer des "bras cassés", des "glandeurs", des "touristes", des "profiteurs", environ un sur dix, ils ont parfois des qualités qui viennent compenser leurs défauts.
Finistere a écrit :
Proposition sur la " notation " d'un équipier...
utilisons un classement façon " sept nains " Atchoum, Dormeur, Prof, Grincheux, Joyeux, Simplet, Timide.
Pas très précis, mais suffisemment explicite.
Sexiste tu as oublié "Blanche Neige" pour ceux qui naviguent au large ...de la Colombie
anecdote tres recente,
au mouillage forain, loin de tout, le bateau dort, je sens une odeur de brulé, je cherche ... et je tombe vite sur le nouvel equipier en train de clopper dans sa cabine, pointe avant, chose bien entendu que j'avais formellement interdite, le detecteur d'incendir ayant été recouvert d'un vetement par ses soins. pourtant, j aurais tout a fait laissé fumer à loisir dans le cockpit, il était censé etre non fumeur néanmoins.
voilierequipier a écrit :
j'ai lu ce livre, je ne viens pas pour faire de pub, il est plutot bien fait, un peu cher, pas mal d'info, j'aurais aimé plus d'anecdote.
mais je suis rester sur ma faim sur UN sujet important
le livre ne traite pas le cas du DEBARQUEMENT D EQUIPIER !!!
je ne parle pas ici de l'equipier qui sans prevenir a une etape qui lui plait quitte le bord vous laissant seul, parceque la fin du parcours l'embete ou que l ile est sympa, qu'il y a fait des rencontres etc ... ça on ne peux rien y faire
je veux parler du cas ou, vous recevez un equipier qui s'avere etre tres different de celui avec qui vous avez discuté par tel, mail, skype, etc...
de + en + pipotent beaucoup pour se faire embarquer, se disant qu'une fois à bord, tout est gagné. On découvre ainsi qu'un non fumeur deviens fumeur alors qu'on avait bien spécifié bateau non fumeur; que son régime alimentaire qui devait etre "je mange de tout" comporte plein de restrictions tres delicates à gerer; etc ....
bref, dès les premieres heures vous vous dites que ça le fait pas du tout.
est ce facile de lui dire ; bon tu m'as mentis, tu corresponds pas à ce que je m'attendais, tu débarques !!!
d'experience, je peux vous assurer que c'est pas facile surtout que l'equipier a fait du trajet pour venir
voila
je suis preneur de vos avis sur ce TRES delicat sujet : comment débarquer un équipier qui n en a pas envie ?
S'il n'existe pas de recettes miracles dans l'embarquement d'un équipier, il me semble que quelques précautions préalables a tout choix devraient être systématiques :
- le skipper doit faire l'effort préalable de définir ce qu'il veut, ce qu'il ne veut pas ainsi que les conditions et règles d'un éventuel embarquement.
- le "candidat" doit aussi procéder à la même démarche.
- les règles incontournables et non discutables de la vie à bord doivent être clairement énoncées avant l'embarquement. Les problèmes et conflits surgissent souvent parce-que les choses n'ont pas été clairement énoncées.
- un manquement a ces règles entraîne un débarquement immédiat ( quand c'est possible ! )
-radio ponton est souvent une bonne source d'information, tout en sachant modérer les excès d'appréciation
- je suis aussi partisan de faire signer au candidat équipier son engagement a respecter les règles et les conditions de son embarquement. Un écrit vaut mieux qu'un long discours.
Étant actuellement au cap vert, j'observe avec délectation le manège des équipiers stoppeurs, et je pense aux multiples déconvenues qui ne vont pas tarder de part et d'autre. Tout cela par manque de recul et d'un minimum de réflexion.
Dstpol a écrit :
S'il n'existe pas de recettes miracles dans l'embarquement d'un équipier, il me semble que quelques précautions préalables a tout choix devraient être systématiques :
- le skipper doit faire l'effort préalable de définir ce qu'il veut, ce qu'il ne veut pas ainsi que les conditions et règles d'un éventuel embarquement.
- le "candidat" doit aussi procéder à la même démarche.
- les règles incontournables et non discutables de la vie à bord doivent être clairement énoncées avant l'embarquement. Les problèmes et conflits surgissent souvent parce-que les choses n'ont pas été clairement énoncées.
- un manquement a ces règles entraîne un débarquement immédiat ( quand c'est possible ! )
-radio ponton est souvent une bonne source d'information, tout en sachant modérer les excès d'appréciation
- je suis aussi partisan de faire signer au candidat équipier son engagement a respecter les règles et les conditions de son embarquement. Un écrit vaut mieux qu'un long discours.
Étant actuellement au cap vert, j'observe avec délectation le manège des équipiers stoppeurs, et je pense aux multiples déconvenues qui ne vont pas tarder de part et d'autre. Tout cela par manque de recul et d'un minimum de réflexion.
Je suis plutôt d'accord avec ce que tu écris, sauf peut-être avec le fait de faire signer tout ça. D'une part ça ne change rien quand les gens ne s'entendent pas (je parle dans le cas d'une transat par exemple où on ne peut pas débarquer) et d'autre part, ça peut donner un côté un peu rigide aux relations et pour moi qui ai beaucoup embarqué comme équipier, ça me ferait un peu peur, peut-être à tort d'ailleurs. La plupart des longues navigations que j'ai faites se sont décidé "au feeling" après une conversation au téléphone ou de vive voix quand c'était possible et ça s'est toujours bien passé. J'ai peut-être eu de la chance de tomber sur des propriétaires-skippers particulièrement sympas mais je n'ai jamais eu de problème ni de relation ni de caisse de bord. A bord, il ne s'agit pas de devenir amis, mais de partager les contraintes et les joies et de pouvoir se faire confiance mutuellement. Certains de ces skippers sont devenus de véritables amis, d'autres non bien que nous ayons gardés de bonnes relations.
Tout ça reste très subjectif et un bon skipper ou un bon équipier ne le seront pas pour d'autres.
Il faut aussi un peu de chance.
Marc.
Une chose qui n'a pas été abordée (ou je ne l'ai pas vue), c'est sur le plan purement légal:
Vous embarquez un équipier à Cannes pour les Antilles. Arrivé aux Canaries, vous n'en pouvez plus et vous voulez le débarquer. Oui mais...il y a un gros mais! Qui paye son billet de retour des Canaries à la France ou son billet des Canaries aux Antilles?
A partir du moment ou vous le prenez en charge d'un port de départ à un port d'arrivée, vous êtes responsables de son acheminement.
C'était en tout cas comme ça il y a...30 ans, je le sais pour l'avoir vécu.
Qu'en est-il maintenant? Doit-on toujours demander à l'équipier de présenter le moyen de son retour au pays d'embarquement (billet d'avion par exemple)?
bonjour. un equipier n est pas un passager et le capitaine est seul responsable a bord. dans cet exemple je le debarque et je suis gentil s il recupere sa part sur la caisse de bord <pour rentrer chez lui> .a la voile ou ramer sur une galere choisisser
Camboui a écrit :
bonjour. un equipier n est pas un passager et le capitaine est seul responsable a bord. dans cet exemple je le debarque et je suis gentil s il recupere sa part sur la caisse de bord <pour rentrer chez lui> .a la voile ou ramer sur une galere choisisser
Bonjour,
Un équipier est dans tous les cas par définition un passager et si le capitaine est en effet le seul responsable à bord, il est aussi soumis aux obligation du code maritime qui est applicable par défaut, sauf contrat spécifiquement signé au préalable avant l'embarquement.
Par exemple, si un de vos équipiers, même votre meilleur ami, fait une grosse bêtise quand vous êtes dans un pays étranger, c'est vous en tant que chef de bord qui en portez la responsabilité. Le cas s'est déjà présenté plusieurs fois avec toutes les "galères" que ceci peut apporter.
Ccofly a écrit :
Une chose qui n'a pas été abordée (ou je ne l'ai pas vue), c'est sur le plan purement légal:
Vous embarquez un équipier à Cannes pour les Antilles. Arrivé aux Canaries, vous n'en pouvez plus et vous voulez le débarquer. Oui mais...il y a un gros mais! Qui paye son billet de retour des Canaries à la France ou son billet des Canaries aux Antilles?
A partir du moment ou vous le prenez en charge d'un port de départ à un port d'arrivée, vous êtes responsables de son acheminement.
C'était en tout cas comme ça il y a...30 ans, je le sais pour l'avoir vécu.
Qu'en est-il maintenant? Doit-on toujours demander à l'équipier de présenter le moyen de son retour au pays d'embarquement (billet d'avion par exemple)?
Un passager paie un "titre de transport", c'est à dire que vous êtes responsables de son acheminement et cela vaut pour les sociétés à brut lucratif. Un équipier, compté en "passager" pour les notions de sécu genre nombre de gilets, est une personne présente à votre "domicile". Sauf à démontrer que vous la mettez en danger en la débarquant, il n'y a pas lieu de se poser la question. Il faut également éviter de la mettre en facto dans l'illégalité : passeport, argent. Il vaut mieux décider de tout avant le départ et vous imposer un contrat moral qui est écrit, lu et approuvé. Les équipiers participant à la caisse de bord sont une tolérance des administrations. Certains charters peu scrupuleux s'engoufrent dans la brèche pour s'exonérer des responsabilités professionnelles sur un convoyage. On atteint vite les limites du système en cas de litige.
bonjour je suis bien d accord mais je dans un cas extreme voila ma position. le capitaine est responsable .le seul meme devant la justice
bien souvent . mais il possede aussi des pregoratives de puissance publique je me permet de les rappeler.
pouvoir de securite et d enquete en cas d infractions penales commises a bord;
pouvoir en matiere de disipline;
pouvoir en matiere de surete maritime;
competences en matiere de l etat civil et de notariat;
bien sur un avocat feras bien mieux valoir votre position .puisque vous aurez a en repondre devant les textes de l organisation maritime et judiciare francaises
bien sur que personne ne souhaite ca mais voila vous etes le capitaine
amicalement
Bonsoir,
a partir du moment ou vous mettez la personne sur une liste d'équipage, Liste qui vous sera demandée a votre arrivée dans un port à l'etranger, l'armateur et donc par conséquence le Capitaine sera responsable de son rapatriement, sauf si disposition prise avant le depart. exemple billet retour, preuve de visas et d'hebergement sur place etc..
Cela m'est arrivé aux Canaries, un équipier n'avait plus envie de continuer, problème rapatriement sur Communauté européenne impossible en raison d'un visa manquant, nous avons payé un billet pour Gibraltar, ou il espérait trouver un job.
Meme s'il payait une prestation a la caisse de bord de 5 Euros par jour, j'ai du payer son billet avion.
La, j'etais dans le cadre de la plaisance.
Au commerce, l'armateur doit rapatrier le marin.
Bonjour,
Un équipier est dans tous les cas par définition un passager et si le capitaine est en effet le seul responsable à bord, il est aussi soumis aux obligation du code maritime qui est applicable par défaut, sauf contrat spécifiquement signé au préalable avant l'embarquement.
Par exemple, si un de vos équipiers, même votre meilleur ami, fait une grosse bêtise quand vous êtes dans un pays étranger, c'est vous en tant que chef de bord qui en portez la responsabilité. Le cas s'est déjà présenté plusieurs fois avec toutes les "galères" que ceci peut apporter.
Pas du tout ! Dans tous les pays le distingo est fait entre "passager" et "équipier", et dans les Antilles, entre autres, bien faire attention à ne pas remplir la mauvaise colonne car les taxes ne seront pas les mêmes...
Bonjour,
Un équipier est dans tous les cas par définition un passager et si le capitaine est en effet le seul responsable à bord, il est aussi soumis aux obligation du code maritime qui est applicable par défaut, sauf contrat spécifiquement signé au préalable avant l'embarquement.
Par exemple, si un de vos équipiers, même votre meilleur ami, fait une grosse bêtise quand vous êtes dans un pays étranger, c'est vous en tant que chef de bord qui en portez la responsabilité. Le cas s'est déjà présenté plusieurs fois avec toutes les "galères" que ceci peut apporter.
Pas du tout ! Dans tous les pays le distingo est fait entre "passager" et "équipier", et dans les Antilles, entre autres, bien faire attention à ne pas remplir la mauvaise colonne car les taxes ne seront pas les mêmes...
si votre meilleur ami ou un equipier fait une grosse betise a l etranger <et que vous etes sur l eau >le capitaine peut le mettre <aux fers>
et le livrer aux autorites competantes .sans debarquer pour garder votre prerogative de <police> vrai ou faux
Camboui a écrit :
si votre meilleur ami ou un equipier fait une grosse betise a l etranger <et que vous etes sur l eau >le capitaine peut le mettre <aux fers>
et le livrer aux autorites competantes .sans debarquer pour garder votre prerogative de <police> vrai ou faux
C'est à dire?
1 - vous etes à l'étranger, et l'équipier fait une grosse bétise (laquelle?, crime, délits, infractions) a bord du bateau. En fonction vous appelez les autorités locales.
2 - Vous etes à l'étranger, et l'équipier fait une grosse bétise (laquelle?, crime, délits, infractions) a terre, dans ce cas les autorités l'auront arreté avant, ou alors viendront le chercher sur le bateau.
Maintenant pour le commerce en tant que Capitaine j'ai délégation du pavillon pour faire respecter la loi à bord, mais pas à terre. Cela dépend aussi si tu es dans un port ou si tu es dans les eaux du pays visités, ou dans les eaux internationales.
Ta question est trés complexe et entraine ipso facto un nombre de réponses variables en fonction du lieu, du pays, du pavillon et du statut du bateau.
Seamarie a écrit :
Bonsoir,
a partir du moment ou vous mettez la personne sur une liste d'équipage, Liste qui vous sera demandée a votre arrivée dans un port à l'etranger, l'armateur et donc par conséquence le Capitaine sera responsable de son rapatriement, sauf si disposition prise avant le depart. exemple billet retour, preuve de visas et d'hebergement sur place etc..
Cela m'est arrivé aux Canaries, un équipier n'avait plus envie de continuer, problème rapatriement sur Communauté européenne impossible en raison d'un visa manquant, nous avons payé un billet pour Gibraltar, ou il espérait trouver un job.
Meme s'il payait une prestation a la caisse de bord de 5 Euros par jour, j'ai du payer son billet avion.
La, j'etais dans le cadre de la plaisance.
Au commerce, l'armateur doit rapatrier le marin.
Eric.
L'equipier qui n'a pas de passeport en règle ne doit pas etre embarqué au long cours
pareil pour celui 100% impécunieux, id est, sans carte banquaire par exemple
à partir de là, si l'un veux partir, il débarque et tu largues les ammares pour une autre ile. par précaution s'il venait te chercher des noises via les autorités locals.
Le probleme que j'évoquais, c'est comment le débarquer si lui, n'en a pas envie !!!!!
@Danielloui
Comme skipper, j'acquiesce à 100%100, et ça fait beaucoup!
Mais mon irremplaçable moitié a montré quelques réserves. Je m'attend au pire ce soir si je veux tirer. .....des bords. Mais est-ce bien nécessaire d'être aussi carré? Cela me rend triste, qui suis adepte des brises évanescentes, des couchers de soleil au parfum de rhum, et des mains douces sur des peaux soyeuses...
Tu as raison, tout à fait raison. Et ça m'énerve. Donc ?Et bien cet excès de sociabilité m'a amené à quelquefois partir seul. Quand même, partir avec un ami, un vrai, ça n'a pas de prix. Et quel placement de raconter aux autres! Bénéfice assuré!
Nous autorises-tu à copier ta table de la LOI pour affichage juste au pied de la descente? Les langues vont se délier et chauffer, va falloir les humidifier: in vino veritas.
Amicalement, et le reste.
Moi aussi je suis un adepte des croisières agréables et sans problème ; c'est pourquoi je n'ai pas trouvé d'autre moyen que de bien encadrer les rapports par avance ; ça évite toutes les discussions stériles après incident.
ALORS, BIEN EVIDEMMENT, AUTORISATION D'USAGE ACCORDÉE A TOUS CEUX QUI SONT INTÉRESSÉS !
Et... on se léve et se couche au son du clairon
Waouuuuuh..... Mais dis moi, si l'gôôs y signe et réspecte pas ? La bonne vieille méthode peut être, la planche comme dans bon vieux temps alors....
Pascal.....
.
Pascal, tu n'es qu'une brute... On respecte la procédure d'abord:
la mise aux fers
Michel
Non, on n'est pas cruel !
Le canot, avec 2 jours d'eau et de vivres.....
Plus sérieusement, à lire les interventions ça et là, on peut supposer que beaucoup des intervenants n'ont aucune idée de leurs obligations ENVERS LES EQUIPIERS EMBARQUÉS.
Ils pourront reparler de leurs expériences quand ils auront eu une fois à financer le retour d'un équipier, ou à assumer l'immobilisation de leur bateau à l'étranger quand simplement du schitt aura été trouvé à bord.
Partir avec des équipiers inconnus, c'est autre chose que de partir avec la famille ou des amis connus de longue date ; on rencontre de tout, même pour une nav de quelques jours ; la plupart du temps, on s'en accomode, mais quelquefois le débarquement d'un individu est indispensable pour la santé mentale du reste de l'équipage.
Pour ce chapitre, j'assume et c'est offert gracieusement par le skipper... Dernièrement, on a descendu à deux, en un mois, trois litres de ARDBEG achetés à Islay , et pas du moins bon, à 60 £ le litre !
Plus sérieusement, il faut bien distinguer entre les règles en navigation, quand de la santé et de la clairvoyance d'un seul dépend la vie de tous les autres,
et la totale liberté qui est laissée à l'équipage lors des escales, lequel vit alors sa vie, et c'est très bien comme ça !
Tu as raison : l'immobiliste est roi au sein de STW ; soit on doute de la volonté de faire avancer les sujets côté Direction, soit on doute de la compétence des mêmes, soit on suppose une volonté délibérée de faire couler la boutique....
Sur le plan de la Bourse des Equipiers, objectif atteint : on est nettement dépassé en termes de fréquentation par d'autres sites comme Hisse et Ho ou VOGAVECMOI
Bientôt, il ne nous restera plus qu'à passer un accord de partenariat avec l'un ou l'autre (au moins un l'a déjà proposé !) et on perdra encore un pan de notre indépendance ; mais après tout, si c'est pour l'efficacité, pourquoi pas ?
Tu sais, ce n'est que de l'humour, en plus je serais plutôt Vodka, et surtout, chacun fait ce qu'il pense être le mieux dans son rafiot, et je crois pas qu'un morceau de torche cul changerait quelque chose. Quand t'as une buse à bord, même si elle à signé ton papier, tu n'as qu'une solution et je pense pas qu'il y ait à dicuter quoi ce soit ou alors c'est toi le nanard... Mais bon des fois c'est pas simple...
Pascal
...
Merci Daniel pour ta dernière intervention...
C'est quoi déjà le sujet ? Ah oui, "comment débarquer un équipier."
STW nous montre peut-être comment faire : rester à la cape, quelques soient les commentaires et les critiques, ne rien répondre, ne rien faire, et les équipiers débarqueront d'eux-mêmes.
Le problème est que ce ne sont pas les pires qui partent les premiers !
La dernière fois que j'ai eu un équipier pas très "en phase" avec moi, et nous n'étions que deux, en acceptant de prendre 50 % de la responsabilité de cette "mésentante" à mon compte, nous en avons parlé et je lui ai dit que si on continuait ainsi il débarquerait au Majorque (nous venions d'Alicante et étions à Ibiza), ce n'est quand même pas au cap'tain de quitter son navire...
Du coup il a mis de l'eau dans son vin, moi des glaçons dans mon rhum, et ça a tenu jusqu'à Barcelone, destination finale prévue pour lui.
Le dialogue reste le meilleurs des moyens pour régler toute ZIZANIE à bord.
Tu as raison ; il faut pouvoir, de temps à autre, s'accomoder de situations pourtant éprouvantes ; mais après tout, c'est le skipper qui a pris la responsabilité de requérir des équipiers ; c'est donc à lui d'assumer.
Il y a deux ans, un gus est arrivé à bord ; ma femme et moi l'avons immédiatement surnommé entre nous Mr PICHON (ref : le dîner de cons) , tant ce type était maladroit, stupide dans ses décisions et ses initiatives, inexpérimenté, et de plus malade 80 % du temps ; en résumé, à surveiller comme le lait sur le feu !
On a passé une huitaine de jours ensemble, le temps de gagner la Cornouaille anglaise, où il a débarqué de sa propre initiative ; Ouf !
Mais tout ceci est compensé par de bonnes relations avec des équipiers qui sont devenus des amis ; la vie n'est faite que d'imprévus.
Salut Daniel,
Pas tout à fait d'accord sur cette "responsabilité" du skipper. Personne n'oblige l'équipier à embarquer, et de mon côté je "propose". Dans le cas cité plus haut, c'est l'équipier lui-même qui m'avait sollicité après avoir trouvé mon blog, je n'avais passé aucune annonce.
Donc, pour moi, l'équipier est lui aussi "responsable" d'une bonne ambiance à bord, et surtout 100 % responsable de son comportement.
J'oserai même dire, après avoir longtemps navigué en club où il faut louer des bateaux et partager tous les frais, qu'un équipier profitant d'une croisière "à pas cher" se devrait d'être "redevable" vis à vis du skipper (ou du bateau).
Mes équipiers "fidèles", ceux qui reviennent, ont toujours un ti cadeau dans leur bagage.
Il m'est aussi arrivé d'embarquer des "bras cassés", des "glandeurs", des "touristes", des "profiteurs", environ un sur dix, ils ont parfois des qualités qui viennent compenser leurs défauts.
Alors là, je ne ferai pas... une ligne de plus.
BEN mon coco......
anecdote tres recente,
au mouillage forain, loin de tout, le bateau dort, je sens une odeur de brulé, je cherche ... et je tombe vite sur le nouvel equipier en train de clopper dans sa cabine, pointe avant, chose bien entendu que j'avais formellement interdite, le detecteur d'incendir ayant été recouvert d'un vetement par ses soins. pourtant, j aurais tout a fait laissé fumer à loisir dans le cockpit, il était censé etre non fumeur néanmoins.
S'il n'existe pas de recettes miracles dans l'embarquement d'un équipier, il me semble que quelques précautions préalables a tout choix devraient être systématiques :
- le skipper doit faire l'effort préalable de définir ce qu'il veut, ce qu'il ne veut pas ainsi que les conditions et règles d'un éventuel embarquement.
- le "candidat" doit aussi procéder à la même démarche.
- les règles incontournables et non discutables de la vie à bord doivent être clairement énoncées avant l'embarquement. Les problèmes et conflits surgissent souvent parce-que les choses n'ont pas été clairement énoncées.
- un manquement a ces règles entraîne un débarquement immédiat ( quand c'est possible ! )
-radio ponton est souvent une bonne source d'information, tout en sachant modérer les excès d'appréciation
- je suis aussi partisan de faire signer au candidat équipier son engagement a respecter les règles et les conditions de son embarquement. Un écrit vaut mieux qu'un long discours.
Étant actuellement au cap vert, j'observe avec délectation le manège des équipiers stoppeurs, et je pense aux multiples déconvenues qui ne vont pas tarder de part et d'autre. Tout cela par manque de recul et d'un minimum de réflexion.
Je suis plutôt d'accord avec ce que tu écris, sauf peut-être avec le fait de faire signer tout ça. D'une part ça ne change rien quand les gens ne s'entendent pas (je parle dans le cas d'une transat par exemple où on ne peut pas débarquer) et d'autre part, ça peut donner un côté un peu rigide aux relations et pour moi qui ai beaucoup embarqué comme équipier, ça me ferait un peu peur, peut-être à tort d'ailleurs. La plupart des longues navigations que j'ai faites se sont décidé "au feeling" après une conversation au téléphone ou de vive voix quand c'était possible et ça s'est toujours bien passé. J'ai peut-être eu de la chance de tomber sur des propriétaires-skippers particulièrement sympas mais je n'ai jamais eu de problème ni de relation ni de caisse de bord. A bord, il ne s'agit pas de devenir amis, mais de partager les contraintes et les joies et de pouvoir se faire confiance mutuellement. Certains de ces skippers sont devenus de véritables amis, d'autres non bien que nous ayons gardés de bonnes relations.
Tout ça reste très subjectif et un bon skipper ou un bon équipier ne le seront pas pour d'autres.
Il faut aussi un peu de chance.
Marc.
Une chose qui n'a pas été abordée (ou je ne l'ai pas vue), c'est sur le plan purement légal:
Vous embarquez un équipier à Cannes pour les Antilles. Arrivé aux Canaries, vous n'en pouvez plus et vous voulez le débarquer. Oui mais...il y a un gros mais! Qui paye son billet de retour des Canaries à la France ou son billet des Canaries aux Antilles?
A partir du moment ou vous le prenez en charge d'un port de départ à un port d'arrivée, vous êtes responsables de son acheminement.
C'était en tout cas comme ça il y a...30 ans, je le sais pour l'avoir vécu.
Qu'en est-il maintenant? Doit-on toujours demander à l'équipier de présenter le moyen de son retour au pays d'embarquement (billet d'avion par exemple)?
bonjour. un equipier n est pas un passager et le capitaine est seul responsable a bord. dans cet exemple je le debarque et je suis gentil s il recupere sa part sur la caisse de bord <pour rentrer chez lui> .a la voile ou ramer sur une galere choisisser
Bonjour,
Un équipier est dans tous les cas par définition un passager et si le capitaine est en effet le seul responsable à bord, il est aussi soumis aux obligation du code maritime qui est applicable par défaut, sauf contrat spécifiquement signé au préalable avant l'embarquement.
Par exemple, si un de vos équipiers, même votre meilleur ami, fait une grosse bêtise quand vous êtes dans un pays étranger, c'est vous en tant que chef de bord qui en portez la responsabilité. Le cas s'est déjà présenté plusieurs fois avec toutes les "galères" que ceci peut apporter.
Un passager paie un "titre de transport", c'est à dire que vous êtes responsables de son acheminement et cela vaut pour les sociétés à brut lucratif. Un équipier, compté en "passager" pour les notions de sécu genre nombre de gilets, est une personne présente à votre "domicile". Sauf à démontrer que vous la mettez en danger en la débarquant, il n'y a pas lieu de se poser la question. Il faut également éviter de la mettre en facto dans l'illégalité : passeport, argent. Il vaut mieux décider de tout avant le départ et vous imposer un contrat moral qui est écrit, lu et approuvé. Les équipiers participant à la caisse de bord sont une tolérance des administrations. Certains charters peu scrupuleux s'engoufrent dans la brèche pour s'exonérer des responsabilités professionnelles sur un convoyage. On atteint vite les limites du système en cas de litige.
bonjour je suis bien d accord mais je dans un cas extreme voila ma position. le capitaine est responsable .le seul meme devant la justice
bien souvent . mais il possede aussi des pregoratives de puissance publique je me permet de les rappeler.
pouvoir de securite et d enquete en cas d infractions penales commises a bord;
pouvoir en matiere de disipline;
pouvoir en matiere de surete maritime;
competences en matiere de l etat civil et de notariat;
bien sur un avocat feras bien mieux valoir votre position .puisque vous aurez a en repondre devant les textes de l organisation maritime et judiciare francaises
bien sur que personne ne souhaite ca mais voila vous etes le capitaine
amicalement
Bonsoir,
a partir du moment ou vous mettez la personne sur une liste d'équipage, Liste qui vous sera demandée a votre arrivée dans un port à l'etranger, l'armateur et donc par conséquence le Capitaine sera responsable de son rapatriement, sauf si disposition prise avant le depart. exemple billet retour, preuve de visas et d'hebergement sur place etc..
Cela m'est arrivé aux Canaries, un équipier n'avait plus envie de continuer, problème rapatriement sur Communauté européenne impossible en raison d'un visa manquant, nous avons payé un billet pour Gibraltar, ou il espérait trouver un job.
Meme s'il payait une prestation a la caisse de bord de 5 Euros par jour, j'ai du payer son billet avion.
La, j'etais dans le cadre de la plaisance.
Au commerce, l'armateur doit rapatrier le marin.
Eric.
bonjour et merci du retour d experience .pour ma part pas de probleme alors pas d equipier de bateau stoppeur ou autre dans mon projet.
amicalement
Pas du tout ! Dans tous les pays le distingo est fait entre "passager" et "équipier", et dans les Antilles, entre autres, bien faire attention à ne pas remplir la mauvaise colonne car les taxes ne seront pas les mêmes...
Tuyau interessant, merci
si votre meilleur ami ou un equipier fait une grosse betise a l etranger <et que vous etes sur l eau >le capitaine peut le mettre <aux fers>
et le livrer aux autorites competantes .sans debarquer pour garder votre prerogative de <police> vrai ou faux
C'est à dire?
1 - vous etes à l'étranger, et l'équipier fait une grosse bétise (laquelle?, crime, délits, infractions) a bord du bateau. En fonction vous appelez les autorités locales.
2 - Vous etes à l'étranger, et l'équipier fait une grosse bétise (laquelle?, crime, délits, infractions) a terre, dans ce cas les autorités l'auront arreté avant, ou alors viendront le chercher sur le bateau.
Maintenant pour le commerce en tant que Capitaine j'ai délégation du pavillon pour faire respecter la loi à bord, mais pas à terre. Cela dépend aussi si tu es dans un port ou si tu es dans les eaux du pays visités, ou dans les eaux internationales.
Ta question est trés complexe et entraine ipso facto un nombre de réponses variables en fonction du lieu, du pays, du pavillon et du statut du bateau.
Bien a toi.
Eric
L'equipier qui n'a pas de passeport en règle ne doit pas etre embarqué au long cours
pareil pour celui 100% impécunieux, id est, sans carte banquaire par exemple
à partir de là, si l'un veux partir, il débarque et tu largues les ammares pour une autre ile. par précaution s'il venait te chercher des noises via les autorités locals.
Le probleme que j'évoquais, c'est comment le débarquer si lui, n'en a pas envie !!!!!
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