Merci Marcus,j'étais licencié au Royal Yacht Club de Mohammédia de 1980 à 1983.
Cela a dû changer depuis.Je serai dans les parages vers le 15,20 septembre,avant route pour Porto Santo
A bientôt peut-être.
Claude
En 2000 je suis restée 6 mois en solo à Mohammdia.
A l´époque c´était le seul port "de plaisance" digne de ce nom sur toute la côte atlantique.
A l´époque... aiujourd´hui je ne saurais dire... mais je pense que le YCM n´a pas dû beaucoup changer !
Aucun regret pour cette escale ceci dit... sauf au moment du départ : un comité factice sorti de nulle part est apparu voulant me faire payer une somme faramineuse par rapport à ce qu´on me demandait initialement.... avec menace de saisie du navire etc...
Il y a interet d´avoir un ami qui est l´ami de l´ami de l´ami si possible bien haut placé... pour arranger les bidons !
Au passage merci à Monsieur Jean Valverve, toujours le véteran de ce club dont il a été un des premiers commodores, (et dont le nom ne sera sûrement pas inconnu à Claude je pense)... car il a su me "libérer" sans faire de vagues.
Sinon j´étais mal barrée...........
Anecdote plutôt marrante :
A l´époque j´attisais la curiosité à Mohammedia.
Les premiers jours, la police, les douanes, les gens du port me disaient systématiquement :
- « On veut parler au monsieur. »
Ce à quoi je répondais :
- « Il n’y a pas de monsieur. »
Alors la phrase prenait une tournure différente, mais pour reposer la même question :
- « On veut parler au capitaine. »
Et moi de re-répondre :
- « C’est moi le capitaine. »
Visiblement, ça ne satisfaisait jamais, parce que chaque fois ils en remettaient une couche :
- « On veut parler à ton mari.
Et rebelote pour moi :
– Mais je n’ai pas de mari ! »
Et là, quelque chose se bloquait.
Quoi ? Une femme seule à bord ?!
Les Marocains ont mis beaucoup de temps à réaliser qu’ils devaient me parler sans intermédiaire. Et leurs airs surpris me faisaient tordre de rire. Finalement ce n´est qu´à la fin de mon séjour, soit presqu 6 mois plus tard, que je me suis sentie acceptée par les boscos du port et enfin reconnue comme "capi" de mon canote !
vu sur ta fiche , bonne nav et surtout pas rater fernandho de moronha , sublime , dommage c est cher
rien il y a deux ans , et j ai lu que qq chose en construction mais rien a ce jour , s arreter avant a rabat et casa pas loin
La marina ne sera "opérationnelle" que l'année prochaine, toutefois, il est toujours possible de s'amarrer au quai
Effectivement, il y a Mohammedia où je suis présentement. Endroit sympa et calme à 500m de la ville (eau, electricité, sanitaire, 15€/jour)
A votre service
Marcus à bord du voilier Camerone
www.alabarre.fr
www.alabarre.fr
Merci Marcus,j'étais licencié au Royal Yacht Club de Mohammédia de 1980 à 1983.
Cela a dû changer depuis.Je serai dans les parages vers le 15,20 septembre,avant route pour Porto Santo
A bientôt peut-être.
Claude
En 2000 je suis restée 6 mois en solo à Mohammdia.
A l´époque c´était le seul port "de plaisance" digne de ce nom sur toute la côte atlantique.
A l´époque... aiujourd´hui je ne saurais dire... mais je pense que le YCM n´a pas dû beaucoup changer !
Aucun regret pour cette escale ceci dit... sauf au moment du départ : un comité factice sorti de nulle part est apparu voulant me faire payer une somme faramineuse par rapport à ce qu´on me demandait initialement.... avec menace de saisie du navire etc...
Il y a interet d´avoir un ami qui est l´ami de l´ami de l´ami si possible bien haut placé... pour arranger les bidons !
Au passage merci à Monsieur Jean Valverve, toujours le véteran de ce club dont il a été un des premiers commodores, (et dont le nom ne sera sûrement pas inconnu à Claude je pense)... car il a su me "libérer" sans faire de vagues.
Sinon j´étais mal barrée...........
Anecdote plutôt marrante :
A l´époque j´attisais la curiosité à Mohammedia.
Les premiers jours, la police, les douanes, les gens du port me disaient systématiquement :
- « On veut parler au monsieur. »
Ce à quoi je répondais :
- « Il n’y a pas de monsieur. »
Alors la phrase prenait une tournure différente, mais pour reposer la même question :
- « On veut parler au capitaine. »
Et moi de re-répondre :
- « C’est moi le capitaine. »
Visiblement, ça ne satisfaisait jamais, parce que chaque fois ils en remettaient une couche :
- « On veut parler à ton mari.
Et rebelote pour moi :
– Mais je n’ai pas de mari ! »
Et là, quelque chose se bloquait.
Quoi ? Une femme seule à bord ?!
Les Marocains ont mis beaucoup de temps à réaliser qu’ils devaient me parler sans intermédiaire. Et leurs airs surpris me faisaient tordre de rire. Finalement ce n´est qu´à la fin de mon séjour, soit presqu 6 mois plus tard, que je me suis sentie acceptée par les boscos du port et enfin reconnue comme "capi" de mon canote !
Sophie S/Y Enomis - Rio de La Plata