Brésil Guyane - La traversée -
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Bonjour,
Enfin le départ, après de longs mois au port, nous voilà repartis pour notre périple.
Le 11 octobre au matin, nous quittons Jacare en remontant le Rio Paraiba en compagnie de Tocata le voilier de nos amis Régis et Pascale.
Ils nous prennent de belles photos de Continent.
La mise en place des voiles !
Et la terre s'éloigne doucement.
La première journée un cadeau du ciel : une baleine batifole près de nous.
Juste le temps de prendre quelques photos.
Nous croisons quelques pêcheurs.
Et Tocata nous suit de loin.
Le temps est idyllique et on reprend notre rythme de croisière.
Quelques cargos à surveiller.
Des oiseaux viennent parfois se réfugier sur le bateau.
Les voiles d'avant en ciseaux pour un vent arrière sans problème.
Toujours des couchers de soleil de rêve.
On voit mal sur l'écran mais avec ce petit bout de génois nous voguons à près de 6 noeuds !
Un courant de 2 à 3 noeuds ...
Une mer formée mais avec une houle régulière et dans le bon sens. Génial !
Le capitaine veille.
Ou non !
Nous voguons à une moyenne de plus de 6 noeuds, sans forcer, nous devrons même ralentir pour ne pas arriver de nuit.
Le 16 octobre de bon matin, nous approchons des îles de Lençois.
Les pêcheurs et les filets sont nombreux.
La fameuse dune apparaît.
Beaux rivages !
Tocata est déjà au mouillage.
Quelle tranquillité dans ce mouillage du bout du monde !
Cela valait le détour.
Après une journée de repos, nous prenons un autre mouillage un peu plus loin dans le chenal.
Juste devant une superbe dune.
Difficile de décrire ce site féérique
Et de nuit ...
Bien entendu le lendemain nous escaladons cette dune de sable fin qui protège le village de pêcheurs.
Le village est de l'autre côté du chenal et accessible seulement à marée haute.
Notre bateau et son équipage !
Le relief dessiné par les vents est très particulier.
Au pied de la dune les pêcheurs nous proposent un poisson. Mais il n'en ont qu'un et il est trop énorme même pour nous quatre.
Les bateaux de pêcheurs sont très rustiques mais aussi très mignons.
Le lendemain nous allons au village de pêcheurs en annexe.
Les rues ...
La place du village avec l'église et un des nombreux puits qui permettent de vivre dans ces lieux perdus.
Régis discute foot ...
Régis et Pascale à l'épicerie : on trouve tout l'indispensable.
Une habitante vend chez elle quelques tomates, pommes et oranges.
Le terrain de football n'est pas très accessible à marée haute.
Nous rentrons à la tombée du jour au bateau (on le voit au loin au pied de la dune).
Le lendemain c'est le départ.
Après quelques heures de près assez rude et une ancre qui a encore sauté du davier (quelques dégâts à l'étrave) nous reprenons notre route tranquillement.
Envie de poisson : on met la ligne et de suite une petite bonite parfaite pour deux repas.
Délicieux !
Encore des passagers clandestins !
Une traversée sans histoire : bon vent et bon courant.
Quelques grains à l'horizon mais nous passerons à travers les gouttes.
A l'approche des côtes, comme souvent, des dauphins nous accompagnent.
Sur la fin la pétole nous oblige à mettre le moteur et nous arrivons à Kourou le 24 au matin après 5 jours de navigation sans problème.
L'entrée du fleuve Kourou.
Le ponton du CNES.
Le mouillage un peu plus loin : il est tranquille. Comme nous sommes en saison sèche et avec de petits coefficients de marée il y a peu de courant : l'ancre tient donc très bien.
De jolis oiseaux nous accueillent.
Ce mouillage nous paraît très sympa.
A bientôt pour notre visite de la Guyane avant le départ vers Tobago.
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Anonyme (no verificado)
29 Octubre 2013 - 12:00am
heureux de lire de vos