Longue escale à Tanger (Du 26 juin au 03 juillet):
Longue escale à Tanger (Du 26 juin au 03 juillet):
La zone portuaire ou nous sommes restée 8 jours est sale, malodorante (poissons pourris et bouches d'égout à l’haleine fétide) le coin qui nous a été attribué est sur un grand quai commerciale entre un ferry et le ponton du bateau pilote avec un très gros pneu sur le quel on est amarré et qui nous protège bien du quai, mais à marée basse de fort coefficient le pont peu se glisser sous le pneu et le ressac aidant c'est comme cela qu'un chandelier a été tordu. De plus selon la marée c'est acrobatique ou impossible de monter ou descendre du bateau.
Évidemment c'est sans eau ni électricité, ni accès à des sanitaires et 20 Euros par jour.
Et la tempête que nous avons subie en arrivant à continuer pendant plusieurs jours où le port est resté fermer au trafique commerciale. Le vent n'a pas vraiment cessait pendant les 8 jours, nous recouvrant chaque jour d'un peu plus de sable fin qui s'introduit partout.
Néanmoins les autochtones sont gentils, chaleureux, serviables et accueillants, mais on est partout en permanence sollicité par des gardiens, guides, prestataire , rabatteurs... c'est vraiment lassant
La police est omniprésente et soucieuse de nous voir dans un coin ou il n'y pas de badaud. Elle participe avec la douane, je crois, au système de racket sur les prestations comme le plein de diesel et d'eau, le gardiennage, selon nos prestataires qui nous demandent de l'argent pour eu.
Les formalités d'entrée sont très rapides ; Le policier de l'émigration ou de la police des frontières, un homme très chaleureux et sympathique, vient avec sa voiture personnelle nous inviter à le suivre avec les papiers du bateau et nos passeports. J'ai bien du mal à retrouver le mien.. Il garde les papiers du Bateau, pour nous obliger à faire la sorti de territoire.. Ensuite il nous conduit à un distributeur de billet, au Duty-Free-Shop de la gare maritime et nous raccompagne à bord.
Le lendemain il conduit Jean-Pierre à l'aéroport. Nous ne quittons pas beaucoup le bateau les premiers jours craignant une avarie on est assez bien abrité du vent mais pas tout le temps du ressac.
Escapade à Meknès :
Sur la route le vent est très violant et l'on a encore un peu l'impression d'être en bateau tant la petite Clio de location fait des embardés.
Nous nous arrêtons pour déjeuner À Chefchaouen :
C'est une ville très propre, entourées de montagnes, on parcours un peu la médina accompagné de l'éternel guide rabatteur pour le super resto typique avec vue. La médina est vraiment belle toute peinte en bleu et le restoest pas mal et avec vue.
La route que nous avons choisie pour Meknès est longue sinueuse et la température dépasse les 40° alors on s’arrête pour prendre un un café dans le petit bourg de Ain Defali ou le tenancier nous parle du Maroc et de la période coloniale. Je me fait arrêter pour un excès de vitesse à 300 Dirhams.
Enfin à Meknès.
C'est une très grande et belle ville.
On s'y perd tout de suite un peu dans la ville nouvelle en cherchant l’hôtel Majestic recommandé par le Routard.
L’hôtel date des années 1920 et il semble que rien n'y a vraiment changé depuis. On parcours un peu un secteur du cartier européen où Denis aurais pu habiter avec ses parents lorsqu'il avait 4 ans, avant de dîner dans un resto pas terrible, indiqué par le routard.
Le lendemain on visite l’hôpital militaireoù il y a 60 ans le père de Denis était médecin.
Ensuite, visite de la médina, où l'on se fait embobiner pour acheter des aromates pour la cuisine. On est tellement assailli de toute part par les guides ou rabatteurs que l'on quitte Meknès le ventre vide pour un petit resto fort sympathique au bord de la route.
La route du retour ne passe pas par les montagnes et cela a paru bien plus court mais avec beaucoup de radars.
Dans les faubourgs de Tanger on s'arrête dans un grand supermarché pour faire le grand ravitaillement.
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