C'était déjà difficile de trouver une assurance aux Antilles, cela va sans aucun doute encore se compliquer.
Cela pourrait être intéressant de savoir ce qui a tenu ou pas tenu en fonction de la force du vent, de la hauteur de la marée cyclonique et de la Houle. Et essayer de voir les endroits les plus abrités, les voiliers qui ont dérapé ou tapé ou coulé et pourquoi ? De voir également en fonction de la force du vent ce qui a tenu ou pas sur les voiliers (panneaux solaires, parebattages, ...).
un petit retour d'expérience, ça se fait après les catastrophes...
Mais peut être cela existe-t -il déjà ?
Autre fait qui semble nouveau (mais pas forcément l'expérience là dessus) , la vitesse avec laquelle Maria est passé de catégorie 1 (ça va on peut gérer...) en catégorie 5 (ça va plus du tout!).
Qu'est ce que vous en pensez ?
Jean
Ton enquête est intéressante et louable mais risque d'être diificilement réalisable car il ya tellement de facteurs diffétents qui sont à prendre en compte d'une synthèse de ceux-ci me paraît dure à exploiter pour avoir, même une petite idée.
-taille et configuration des bateaux (pont flush deck, pilote house etc..=)
-lieu du bateau, au mouillage (type, nature des fonds), à terre, en marina (et situation de celle-ci)
- bateau avec ses voiles ferlées, affalées ou retirées, gréement sloop, ketch ou goelette
- capote ou non, panneaux ou non
- bateau ayant été dans l'oeil ou pas du cyclone
-personne à bord ou non
etc...etc.....
Tu vois il y a du boulot à supposé que tu reçoives suffisamment d'infos pour que l'étude ait un début de valabilité.
Pour ma part j'ai pris un cyclone à Cuba en 2001 (récit sur ce site+ photos) avec 240 km/h de vent, j'avais tout bien préparé mais l'oeil est passé juste audessus de moi et quelques heures plus tard, avec la renverse, je me suis retrouvé dans la mangrove à 10m en dehors de la darse.
Bonne chance
Kpicris