Interessant . Merci Yorük et Serge .

Petite variante de la même technique : utiliser un bout avec un poids de pêche au bout ; passé dans l'anneau du flotteur permettra à celui-ci de toujours rester à la verticale de l'ancre et se règlera tout seul avec les mouvements de la marée .

Voir le shéma joint .
@+

Trés joli le montage de l'orin avec un plomb de rappel. Mais je me demande comment le plomb peut rapeller quand on sait que tout bouge en mer et que le plomb ne va pas manquer de s'entortiller autour de l'orin rendant le rappel aléatoire voire impossible.
Amicalement,
Régis

bonjour,
cela marche mais il faut un plomb de plongée avec 2 fentes, dans ce cas,  le plomb coulisse bien
A+

Dieu sait que je suis étourdi.
Ma femme aussi sait.
Peut être allez vous soupçonner de ma part quelque vantardise, mais à chaque fois que j'ai tiré sur la chaîne ... l'ancre était au bout.
Dingue ! Non ?
Parfois enfouie, jamais enfuie.

Si vous avez des astuces pour désengager une ancre prise sous "la locomotive" ou autre chose... alors qu'elle n'est pas oringuée !
Merci, parce que j'ai horreur de l'eau !

Monsieur Raoul

Je n'utilie plus la bouée d'orin trop tentante pour tous ces braves gens qui découvrent le bateau de location. J'utilise simplement les petites boules (de Serge ?) à un mètre au dessus du diamant. Le truc du flotteur avec un plomb coulissant c'est utilisable mais grosse galère quand ça s'embrouilles dans la baille à mouillage, de plus ça fait toujours un appât de plus pour l'éléphant de passage. Quand il faut remonter ce système ça traîne derrière avec risque de se prendre dans l'hélice sauf si on laisse culer. Mais en général on peut peu.

Quand l'ancre est prise au fond ? Je ne sais pas ! J'ai une petite bouteille de plongée au cas où mais j'ai moi aussi horreur de me mettre dans l'eau à moins de 28°.
Le dernier remède trouvé et qui jusqu'ici a marché à 100% c'est une ardente prière au dieu local. Je préfère d'ailleurs les dieux locaux ancestraux, ils sont plus marrants.

salut Kaj et aux autres
j'utilise les deux systemes suivant l'endroit où je suis les petits flmoteurs tenus ecartés par des noeuds permettent de descendre un grapin de crocher et se transforme en orin sur la bouée j'ai 12m de bout ce qui va tres bien pour des mouillages en med de 4/5m à 13/14 m la bouée est tres pratique pour signaler l'ancre et le parcours de la chaine et eviter que qqun se mette dessus   

Yörük a écrit :

Daniel13/73 a écrit :
salut Kaj et aux autres
j'utilise les deux systemes suivant l'endroit où je suis les petits flmoteurs tenus ecartés par des noeuds permettent de descendre un grapin de crocher  

 Salut, salut...alors çà j'achète... Merci

 Moi j'achète aussi Super!!!

  Henri

M. Raoul a écrit :

Si vous avez des astuces pour désengager une ancre prise sous "la locomotive" ou autre chose... alors qu'elle n'est pas oringuée !
Merci, parce que j'ai horreur de l'eau !

Monsieur Raoul
 

Tendre le mouillage, le plus à l'horizontale possible,
Faire glisser le long du mouillage, une boucle lestée jusqu'à ce qu'elle arrive sur le jas de l'ancre coincée
Relacher le mouillage
Tirer sur le cordage terminé par la boucle, en principe, l'ancre remonte, sinon recommencer.

Pour que çà marche bien, il faut tirer dans le sens opposé à l'accrochage
Il faut aussi que la boucle soit le plus possible engagée sur le jas.
 

Yörük a écrit :

La seule solution pour éviter d'engager l'ancre est de trouver impérativement un fond de sable, ou de vase claire. Pour le reste, je te rejoint; on fait une prière, et on serre les fesses... L'ordre n'a pas d'importance.
Par contre en atlantique, ou l'on mouille evac moins de fond, la bouée coulissante me semble intéressante.
Yoruk

 Pour éviter d'engager l'ancre, mouiller avec beaucoup de chaine. C'est le poids de la chaine qui tient le bateau.

Il faut être vigilant, il est toujours préférable de connaitre la nature des fonds naturels (sable, herbiers, rochers,) attention aux blocs et dalles de rochers,
voire aux anciens mouillages  abandonnés dans les rades foraines, aux cables divers et variés  qui peuvent se trouver dans certains abris.

Il y a aussi les mouillages des bateaux voisins qui sont quelque fois sources d'embrouille!!!!!

Awa, c'est aussi ma solution.

Sauf que, en ce qui me concerne, je tente de mettre la chaîne à la verticale.
Je fais une boucle avec une métre de chaîne, laisse descendre et tire du côté opposé à la prise.
En général ça marche.

Et Dieu dans tout ça ?

Monsieur Raoul

Autres propositions ?

Monsieur RAOUL

Greenb85 a écrit :
Interessant . Merci Yorük et Serge .

Petite variante de la même technique : utiliser un bout avec un poids de pêche au bout ; passé dans l'anneau du flotteur permettra à celui-ci de toujours rester à la verticale de l'ancre et se règlera tout seul avec les mouvements de la marée .

Voir le shéma joint .
@+

Bien que la mer n'est pas toujours immobile je tenterai cette expérience à la première occasion. Et j'essaierai d'utiliser comme poids des anneaux d'acier galvanisés enfilés dans le bout principal que j'ai en stock Ø int env 5 cm  300 G pièce. Sans entrer dans les détails, en pêche à la ligne, on utilise quelque fois ce principe avec des flotteurs coulissants.
JJ

En Atlantique, avec un orin et bouée à marée basse quand le courant tourne on est sûr de se coller l'orin dans l'hélice ou le safran quand ça n'est pas la quille.
Mettre l'orin le long de la chaîne est une solution intéressante mais je n'ai jamais réussi à la faire fonctionner bien longtemps. J'ai eu l'orin qui ne suivait pas l'ancre en descente et qui la bloquait à l'envers. j'avais l'air malin ! J'ai eu aussi l'orin enroulé autour de la chaîne et donc qui ne sert plus à rien,on imagine les problèmes éventuels au guindeau, l'orin calculé trop court qui fait que c'est lui qui tire sur le diamant de l'ancre... Décrochage assuré. Je ne vous parle pas des hameçons qu'on se prend dans les mains parce qu'un pêcheur est passé trop près. Bref ! Que des emmerdes !
Mais je ne dis pas que je suis doué non plus !

Au bout de l'ancre j'ai un bout de bout "flottant" d'un peu plus de 1 mètre, il se met à la verticale quand l'ancre est au fond.
Si l'ancre est engagée, je plonge, un autre bout avec un mousqueton rapide est vite frappé sur la boucle qui est en permanence sur le bout à poste sur l'ancre.

Quand l'ancre est dans le davier, ce bout me sert à l'assurer.

Mais très mauvais souvenirs avec les orins équipés d'une bouée, même avec le système du réglage auto avec un plomb.

Le moins pire, c'est le vent qui tombe, qui tourne, et on passe le reste de la nuit avec la bouée qui tape sur la coque.

Le pire, mouillage avec un cata au Selvagem, orin recommandé car fond très rocheux, le vent faiblit et tourne, le cata avance, l'orin vient s'enrouler autour de la patte d'oie du mouillage, le vent revient, le cata recule... et tire directement sur l'orin via la patte d'oie, l'ancre dérape car elle est tirée à l'envers... il est 2 heures du matin, c'est en heurtant le seul voilier mouillé derrière nous que nous sommes avertis du dérapage, entourés par les cailloux, il fait nuit, et il faut défaire le tricot qui est à l'avant, 40 mètres de chaine mélangés avec 10 m d'orin, avant de sortir du mouillage. De très longues minutes d'angoisse et de boulot pour remettre en ordre avant de prendre le large.

Nous sommes arrivés plus tôt que prévu aux Canaries !

Bonjour,

Pour ceux que les mouillages sur fond de patates de corail intéressent, voir le passage sur les Tuamotus par le lien suivant :
A+ Sergio

http://www.hisse-et-oh.com/articles/article.php?article=1025