Je suis persuadé que les pratiquants du "yachting" sont parmi les plus "protecteur de l' environnement" et c' est pour cette
raison qu' ils sont assez discret. Tout n' est pas parfait mais la majorité d entre nous cherche à se rapprocher du comportement
le plus écologiique j' en suis intimement persuadé. Un tout petit exemple : savez vous que les bateaux de pêche par exemple n'
ont pas de poubelle ? Est la faute uniquement des pêcheurs ? Qu' au port de commerce où je suis il n' existe pas même de bac-
poubelle sur les quais...Vous me direz que ce n' est pas une raison pour poluer, c' est vrai, aussi je pense que l' effort serait à
faire beaucoup plus en amont mais avec l' accord les représentant de plaisanciers pour aboutir à des décisions efficaces...ce
qui devrait soulever le problème du rôle possible de "STW"...Il me semble l' avoir lu dans le dernier bulletin du 1er Févrieur 2008 !
Oui, je pense aussi que lorsque l'on fait de la voile, "normalement"... on est très sensible à l'environnement. Il y a déjà 20 ans,
après Panama l'on voyait beaucoup de pollution...Dans les îles, par le passé, ils jetaient tout naturellement, puisque c'était
biodégrable... à présent, ils continuent malheureusement...
Je reviens sur le message d'Helies 22.
Tout d'abord, ayant navigué à la pêche, je peux vous assurer qu'il existe des poubelles à bord.
Concernant les navires de commerce, nous avons l'obligation de trier les poubelles et de les débarquer régulièrement, contre reçu. C'est un service payant, qui peut expliquer l'absence de containers sur les quais.
Enfin, préparant un grand voyage, j'aimerai réduire au maximum notre empreinte écologique. Malheureusement, il est impossible de se passer d'un moteur diesel mais à contrario très facile de ne pas prendre de sac plastique lors de l'avitaillement.
Pour moi, le principal problème est le stockage de déchets non biodégradables lors d'une longue traversée.
Etre concerné par l'environnement, c'est un fait, mais agir c'est encore mieux, des gestes tous les jours pour pouvoir encore s'émerveiller sur des paysages, et des phénomènes qui vont se dégrader si nous n'agissons pas ensembles, alors que l'homme ne connait encore pas tout de sa planete ! comme ces évenements physiques qui se déroulent une fois dans l'année !
à visiter !
Selon une étude très sèrieuse et très complète diffusée par le conseil supérieur de la navigation de plaisance, la plaisance toutes activités confondues (voile et moteur) est responsable de moins de 1% des pollutions marines. Autant dire que les voileux que nous sommes doivent se situer dans l'épaisseur du trait et en tous cas au-dessous du seuil de la mesure.
Tout se passe cependant comme si nous étions de grands pollueurs. On nous impose des antifoulings sophistiqués, onéreux et peu efficaces alors que 60% de la flotte mondiale (je cite le rapport) est encore couverte de TBT aux effets particulièrement toxiques. On nous "autorise" le carénage de nos bateaux sur des grills spécialisées facturés au prix fort par les ports de plaisance alors que les pollutions littorales sont essentiellement d'origine agricole et citadine (pesticides et eaux de ravinement). On nous impose des caisses à eaux noires alors que le rejet de déchets organiques en eau libre n'a pas d'effet polluant.
En résumé, je veux dire qu'alors que notre sport, la voile, est probablement un des sports qui a le moins d'impacts négatifs sur l'environnement, tout se passe comme si nous faisions courir à la planète un risque majeur. Ceci ne veut pas dire pour autant que nous ne devons pas avoir comme tout citoyen des comportements vertueux et responsables en matière d'écologie.
Si le nombre de dossiers consacré à ce sujet sur un site de voile est peu important, c'est probablement qu'il est à la mesure des effets réels que notre pratique engendre.
L'indifference continue et même s'accroit tout en étant bien plus hypocrite et de plus en plus irresponsable (cf. les belles promesses minuscules que ne tiendront pas les dirigeants du monde juste avant la Nième conférence sur la réduction des rejets de carbone).
Le "tout pour ma gueule" gagne du terrain : tant pis pour nos gamins et surtout ceux des autres sacrifiés déjà depuis 20 ans !
Un exemple de mauvaise foi (entre mille autres) lu juste ici au-dessus :
"Bonjour,
Selon une étude très sèrieuse et très complète diffusée par le conseil supérieur de la navigation de plaisance, la plaisance toutes activités confondues (voile et moteur) est responsable de moins de 1% des pollutions marines. Autant dire que les voileux que nous sommes doivent se situer dans l'épaisseur du trait et en tous cas au-dessous du seuil de la mesure.
Tout se passe cependant comme si nous étions de grands pollueurs. ..."
Et individuellement quel est le vrai pourcentage par rapport à la moyenne des autres êtres humains, au hasard ceux dans un camp au Darfour ?
Les "études sérieuses supèrieures" citées comme Paroles d'Evangiles permettent tous les abus de trucages (surtout les mauvais gags de statistiques égocentriques (comble de détournement !).
Allez, salut les autruches qui courent de plus en plus vite mais la tête de plus en plus enfoncvée dans le sable (faut le faire, hein ?).
Je n'ai pas eu plus de succés que l'auteur de ce dossier ... Les dirigeants de STW, appremment intéressés et cherchant des rédacteurs bénévoles, font les morts dés que l'Environnement est évoqué ... Si je mens, je meurs.
Surtout que le plus grand pourcentage de pollution vient de la terre.
Rejet en mer des stations d'épurations, boues d'aluminium et autres, plus déchets jetés en pleine mer, etc...
Arretons de taper sur les pauvres bateaux de plaisance (moteur et voile) et ceux de la marine marchande. Regardons qui sont les réels pollueurs.
Pour moi le Grenelle de la mer est une hypocrisie sans nom.
Les marins sont depuis longtemps des gens responsables et prenant soin de leurs océans.
sortez en mer et comptez le nombre de navires de plaisance que vous rencontrez...
Par rapport à la population littorale et à ce que charrient les fleuves, la pollution issue de la plaisance est vraiment peanut : en tapant sur les plaisanciers, on ne tape pas sur la pollution, mais sur l'image que représente la plaisance : nous avons des bateaux > nous sommes donc riches > on peut nous taper dessus > les cons sont rassurés... fermer le ban.
Exemple de fausse solution : on nous impose des cuves à eaux noires, alors que les déchets organiques humains sont biodégradables et à la limite nourissent la faune marine ; alors qu'on n'impose pas une cuve à eaux grises, qui serait infiniment plus utile en raison des détergents utilisés à bord...
Bah... j'ai un projet en tête, projet pro de charter nautique. j'ai essayé d'inclure dans ce projet la notion d'écologie au sens propre du terme, symbiose avec les éléments, énergie verte (panneaux solaires, hydrogénérateur), pas au sens intégriste ou politicien, je me suis fait fermer les portes comme par un jour de grand vent...
Le même projet avec la notion de rentabilité est passé comme une lettre à la poste...
D'un autre côté, l'auteur de ce fil parle de produits nocifs lors des carénages et donc d'antifouling. La plaisance n'est pas la plus polluante des composantes négatives de ce qui flotte sur l'eau. Suffit de voir combien coûte un supertanker qui perd 3-4 noeuds de vitesse en 6 mois pour comprendre vite.
Les chaînes et les ancres dans les mouillages, oui, mais remplacer une éducation par un racket organisé (le corps mort mal posé qui rague sur le fond en est un exemple flagrant, mais il rapporte des thunes...) et quid de cet argent du racket? A-t'on déjà vu replanter des algues dans le fond, remettre de la vie sur un mouillage ?
L'huile moteur, je préfère pour le moment utiliser de l'huile à base de pétrole, naturellement biodégradable, alors que de l'huile de colza ou autre produit provenant de l'agro est une hérésie totale condamnant les paysans à cultiver des plantes pour faire du carburant ou des huiles alors qu'ils sont sous perfusion artificielle via nos impôts et sont obligés de s'endetter pour continuer de faire leur métier. Je parle des petits et des paysans "exotiques".
Le voyageur responsable... bien joli terme !
Un voyageur qui trie et stoke ses déchets ultimes, non biodégradables et les donne dans un sac plastique non dégradable, (le comble) a un pays qui ne sait quoi en faire et donc les entasse sur un tas d'ordure.
Oui, le sujet est délicat, oh combien !
Je cherche de mon côté que faire, pas facile !
Phil
bonjour à tous et bonne santé
Décembre 2011 il y a maintenant 19 sujets environement
Avant de répondre plus sérieusement, un petit sourire entre parenthèse
Il y avait, parait-il dans le fond les grandes pirogues polynesiennes, un cochon qui recyclait les déchets humains. J'ai donc pensé enlever mon moteur et transformer ce compartinent en soue à cochon. Malheureusement la cohabitation en milieu confiné avec cette bête est impossible, croyez-en mon passé agricole. Dommage.
Un rappel historique: l'écologie, ce n'est pas nouveau. Déja les pythagoriciens (500 ans en dessous de zéro) disaient que pour que les générations suivantes trouvent une atmosphère respirable, il fallait cesser de consommer des légumes secs. Authentique!
Je suis moi aussi très écolo en ce qui concerne mes déchets, mais je suis de plus en plus méfiant sur la finalité de la filière "déchet", surtout après avoir lu "gomorra" sur la main mise de la mafia sur toute la filière déchet Italienne et je me dis que les quelques alertes faites en France doivent nous inciter à plus de méfiance. Rien que pour la Grèce les déchets même par tri sélectif, sont chargés sur de gros semi-remorques, prennent le ferry, traversent la Mer Egée et autres pour débarquer à Athènes pour finir dans des décharges à ciel ouvert sur la route du Cap Sounion où les déchets sont brûlés... Tout cela pour dire qu' il faut faire attention de ne pas tomber dans le piège de la "Culpabilisation" bien pratique pour les gouvernements afin de gérer de façon la plus économique ce genre de problème. Il est très difficile d' avoir des précisions peu inmporte l' endroit où l' on se trouve.
Je suis persuadé que les pratiquants du "yachting" sont parmi les plus "protecteur de l' environnement" et c' est pour cette
raison qu' ils sont assez discret. Tout n' est pas parfait mais la majorité d entre nous cherche à se rapprocher du comportement
le plus écologiique j' en suis intimement persuadé. Un tout petit exemple : savez vous que les bateaux de pêche par exemple n'
ont pas de poubelle ? Est la faute uniquement des pêcheurs ? Qu' au port de commerce où je suis il n' existe pas même de bac-
poubelle sur les quais...Vous me direz que ce n' est pas une raison pour poluer, c' est vrai, aussi je pense que l' effort serait à
faire beaucoup plus en amont mais avec l' accord les représentant de plaisanciers pour aboutir à des décisions efficaces...ce
qui devrait soulever le problème du rôle possible de "STW"...Il me semble l' avoir lu dans le dernier bulletin du 1er Févrieur 2008 !
Oui, je pense aussi que lorsque l'on fait de la voile, "normalement"... on est très sensible à l'environnement. Il y a déjà 20 ans,
après Panama l'on voyait beaucoup de pollution...Dans les îles, par le passé, ils jetaient tout naturellement, puisque c'était
biodégrable... à présent, ils continuent malheureusement...
Je reviens sur le message d'Helies 22.
Tout d'abord, ayant navigué à la pêche, je peux vous assurer qu'il existe des poubelles à bord.
Concernant les navires de commerce, nous avons l'obligation de trier les poubelles et de les débarquer régulièrement, contre reçu. C'est un service payant, qui peut expliquer l'absence de containers sur les quais.
Enfin, préparant un grand voyage, j'aimerai réduire au maximum notre empreinte écologique. Malheureusement, il est impossible de se passer d'un moteur diesel mais à contrario très facile de ne pas prendre de sac plastique lors de l'avitaillement.
Pour moi, le principal problème est le stockage de déchets non biodégradables lors d'une longue traversée.
Etre concerné par l'environnement, c'est un fait, mais agir c'est encore mieux, des gestes tous les jours pour pouvoir encore s'émerveiller sur des paysages, et des phénomènes qui vont se dégrader si nous n'agissons pas ensembles, alors que l'homme ne connait encore pas tout de sa planete ! comme ces évenements physiques qui se déroulent une fois dans l'année !
à visiter !
http://canigou.allauch.free.fr/
Bonjour,
Selon une étude très sèrieuse et très complète diffusée par le conseil supérieur de la navigation de plaisance, la plaisance toutes activités confondues (voile et moteur) est responsable de moins de 1% des pollutions marines. Autant dire que les voileux que nous sommes doivent se situer dans l'épaisseur du trait et en tous cas au-dessous du seuil de la mesure.
Tout se passe cependant comme si nous étions de grands pollueurs. On nous impose des antifoulings sophistiqués, onéreux et peu efficaces alors que 60% de la flotte mondiale (je cite le rapport) est encore couverte de TBT aux effets particulièrement toxiques. On nous "autorise" le carénage de nos bateaux sur des grills spécialisées facturés au prix fort par les ports de plaisance alors que les pollutions littorales sont essentiellement d'origine agricole et citadine (pesticides et eaux de ravinement). On nous impose des caisses à eaux noires alors que le rejet de déchets organiques en eau libre n'a pas d'effet polluant.
En résumé, je veux dire qu'alors que notre sport, la voile, est probablement un des sports qui a le moins d'impacts négatifs sur l'environnement, tout se passe comme si nous faisions courir à la planète un risque majeur. Ceci ne veut pas dire pour autant que nous ne devons pas avoir comme tout citoyen des comportements vertueux et responsables en matière d'écologie.
Si le nombre de dossiers consacré à ce sujet sur un site de voile est peu important, c'est probablement qu'il est à la mesure des effets réels que notre pratique engendre.
Bien cordialement
Francis GINIAUX
L'indifference continue et même s'accroit tout en étant bien plus hypocrite et de plus en plus irresponsable (cf. les belles promesses minuscules que ne tiendront pas les dirigeants du monde juste avant la Nième conférence sur la réduction des rejets de carbone).
Le "tout pour ma gueule" gagne du terrain : tant pis pour nos gamins et surtout ceux des autres sacrifiés déjà depuis 20 ans !
Un exemple de mauvaise foi (entre mille autres) lu juste ici au-dessus :
"Bonjour,
Selon une étude très sèrieuse et très complète diffusée par le conseil supérieur de la navigation de plaisance, la plaisance toutes activités confondues (voile et moteur) est responsable de moins de 1% des pollutions marines. Autant dire que les voileux que nous sommes doivent se situer dans l'épaisseur du trait et en tous cas au-dessous du seuil de la mesure.
Tout se passe cependant comme si nous étions de grands pollueurs. ..."
Et individuellement quel est le vrai pourcentage par rapport à la moyenne des autres êtres humains, au hasard ceux dans un camp au Darfour ?
Les "études sérieuses supèrieures" citées comme Paroles d'Evangiles permettent tous les abus de trucages (surtout les mauvais gags de statistiques égocentriques (comble de détournement !).
Allez, salut les autruches qui courent de plus en plus vite mais la tête de plus en plus enfoncvée dans le sable (faut le faire, hein ?).
Je n'ai pas eu plus de succés que l'auteur de ce dossier ... Les dirigeants de STW, appremment intéressés et cherchant des rédacteurs bénévoles, font les morts dés que l'Environnement est évoqué ... Si je mens, je meurs.
Du calme, l'énervement ça dégage du carbone. Pour le discernement vous verrez plus tard.
ISTOS
Surtout que le plus grand pourcentage de pollution vient de la terre.
Rejet en mer des stations d'épurations, boues d'aluminium et autres, plus déchets jetés en pleine mer, etc...
Arretons de taper sur les pauvres bateaux de plaisance (moteur et voile) et ceux de la marine marchande. Regardons qui sont les réels pollueurs.
Pour moi le Grenelle de la mer est une hypocrisie sans nom.
Les marins sont depuis longtemps des gens responsables et prenant soin de leurs océans.
A+
Capt Eric
Seule réaction "semi officielle" ? Un peu court l'argumentaire scientifique ...
sortez en mer et comptez le nombre de navires de plaisance que vous rencontrez...
Par rapport à la population littorale et à ce que charrient les fleuves, la pollution issue de la plaisance est vraiment peanut : en tapant sur les plaisanciers, on ne tape pas sur la pollution, mais sur l'image que représente la plaisance : nous avons des bateaux > nous sommes donc riches > on peut nous taper dessus > les cons sont rassurés... fermer le ban.
Exemple de fausse solution : on nous impose des cuves à eaux noires, alors que les déchets organiques humains sont biodégradables et à la limite nourissent la faune marine ; alors qu'on n'impose pas une cuve à eaux grises, qui serait infiniment plus utile en raison des détergents utilisés à bord...
Bah... j'ai un projet en tête, projet pro de charter nautique. j'ai essayé d'inclure dans ce projet la notion d'écologie au sens propre du terme, symbiose avec les éléments, énergie verte (panneaux solaires, hydrogénérateur), pas au sens intégriste ou politicien, je me suis fait fermer les portes comme par un jour de grand vent...
Le même projet avec la notion de rentabilité est passé comme une lettre à la poste...
D'un autre côté, l'auteur de ce fil parle de produits nocifs lors des carénages et donc d'antifouling. La plaisance n'est pas la plus polluante des composantes négatives de ce qui flotte sur l'eau. Suffit de voir combien coûte un supertanker qui perd 3-4 noeuds de vitesse en 6 mois pour comprendre vite.
Les chaînes et les ancres dans les mouillages, oui, mais remplacer une éducation par un racket organisé (le corps mort mal posé qui rague sur le fond en est un exemple flagrant, mais il rapporte des thunes...) et quid de cet argent du racket? A-t'on déjà vu replanter des algues dans le fond, remettre de la vie sur un mouillage ?
L'huile moteur, je préfère pour le moment utiliser de l'huile à base de pétrole, naturellement biodégradable, alors que de l'huile de colza ou autre produit provenant de l'agro est une hérésie totale condamnant les paysans à cultiver des plantes pour faire du carburant ou des huiles alors qu'ils sont sous perfusion artificielle via nos impôts et sont obligés de s'endetter pour continuer de faire leur métier. Je parle des petits et des paysans "exotiques".
Le voyageur responsable... bien joli terme !
Un voyageur qui trie et stoke ses déchets ultimes, non biodégradables et les donne dans un sac plastique non dégradable, (le comble) a un pays qui ne sait quoi en faire et donc les entasse sur un tas d'ordure.
Oui, le sujet est délicat, oh combien !
Je cherche de mon côté que faire, pas facile !
Phil
bonjour à tous et bonne santé
Décembre 2011 il y a maintenant 19 sujets environement
Avant de répondre plus sérieusement, un petit sourire entre parenthèse
Il y avait, parait-il dans le fond les grandes pirogues polynesiennes, un cochon qui recyclait les déchets humains. J'ai donc pensé enlever mon moteur et transformer ce compartinent en soue à cochon. Malheureusement la cohabitation en milieu confiné avec cette bête est impossible, croyez-en mon passé agricole. Dommage.
Un rappel historique: l'écologie, ce n'est pas nouveau. Déja les pythagoriciens (500 ans en dessous de zéro) disaient que pour que les générations suivantes trouvent une atmosphère respirable, il fallait cesser de consommer des légumes secs. Authentique!
a bientôt un message plus sérieux.
Je suis moi aussi très écolo en ce qui concerne mes déchets, mais je suis de plus en plus méfiant sur la finalité de la filière "déchet", surtout après avoir lu "gomorra" sur la main mise de la mafia sur toute la filière déchet Italienne et je me dis que les quelques alertes faites en France doivent nous inciter à plus de méfiance. Rien que pour la Grèce les déchets même par tri sélectif, sont chargés sur de gros semi-remorques, prennent le ferry, traversent la Mer Egée et autres pour débarquer à Athènes pour finir dans des décharges à ciel ouvert sur la route du Cap Sounion où les déchets sont brûlés... Tout cela pour dire qu' il faut faire attention de ne pas tomber dans le piège de la "Culpabilisation" bien pratique pour les gouvernements afin de gérer de façon la plus économique ce genre de problème. Il est très difficile d' avoir des précisions peu inmporte l' endroit où l' on se trouve.