Impressions de Galice...
Lors de notre passage à Portosin, nous avons abandonné Spip pour aller faire un tour à Santiago. « Pluie du matin n'arrête pas le pèlerin », dit-on, mais c'est finalement toute la journée qui a été copieusement arrosée.
Nous avons compensée avec les nourritures terrestres en découvrant par hasard « El Gato Negro ». Un petit bar-restaurant qui ne paye pas de mine mais où le poulpe à la galicienne et les « calamares en su tinta » (calamars cuits dans leur encre) y sont... divins !
De port en port (Muros, Corrubedo, Aguiño, Porto de Caraminbal, Pontevedra) nous retrouvons les ruelles de Galice, les élevages de moules sur ponton
et les fêtes traditionnelles, comme cette procession maritime à Aguiño en mémoire des disparus en mer à laquelle nous nous sommes joints pour le plus grand plaisir des espagnols
Les joueurs de gaïtas (cornemuse galicienne) sont toujours là mais nous découvrons aussi une autre et nouvelle réalité de la vie en Espagne : la crise économique. Par exemple à travers ces manifestations de petits épargnants qui se déplacent de banque en banque avec leur banderole sur laquelle on peut lire : « Toutes une vie d'économies pour qu'ils nous les volent ».
À Vigo, Katia a découvert la caïpirinha (prononcer « caïpirigna »), un cocktail brésilien préparé à base de cachaça, de sucre de canne et de citron vert en attendant Monique et Fred qui embarquaient : destination Lisbonne. Toujours à la recherche de l'été...
Le jeu
C'est Joël qui le premier a trouvé la bonne réponse à notre photo mystère. C'est un cimetière qui se cachait derrière ce mur. La preuve :
Vous devez vous identifier pour laisser un commentaire : cliquez ici pour vous connecter .