Vers les îles Argo-Saroniques
Après Patmos, nous regagnons Samos puis Kios en naviguant de nuit avec un vent d’enfer (37 à 40 noeuds - force 7) sans rencontrer de bateaux.
Samos, nous fêtons notre anniversaire de mariage, bien arrosé comme il se doit, le retour à pied restera un moment mémorable J.
et le lendemain, Solstice est prêt à prendre le départ au port de Samos
Mer d’huile à Kos après une mer fort mouvementée
A Kios, retrouvailles imprévues avec EleanorR, posé derrière Solstice à l’entrée du port .
Nous passerons trois jours très sympathiques avec Yvon et Jacqueline à découvrir la partie Nord de l’île
En direction d’Athènes, mouillages et nouvelle traversée de nuit,
un peu plus calme pour nous retrouver sur la grande île de Ebbe (ou Evvoia) à Karistos, joli petit port de villégiature grec sans touristes.
Lavrion : ancienne ville minière française la fin du 19e et début du 20e s.
et ville portuaire très animée, où beaucoup de flottilles se retrouvent – difficile de trouver une place, mais la gentillesse du Maître du Port aide à trouver une solution et nous y resterons quelques jours.
De là, nous prendrons trois bus pour aller à l’aéroport situé à 50 km récupérer notre petit-fils Vincent.
Après l'amarinage de Vincent, Solstice nous emmène de mouillages en ports de pêche, en passant par la mythique pointe de Sounio, site du temple dédié à Poséidon
Pêche et baignade au cours d’une ballade en voiture
A défaut d’emporter les belles motos qui font la joie de Vincent … on les photographie toutes !
Egine,
puis mouillage devant l'entrée du petit port de Epidavros
où le café frappé a été excellent, n'est ce pas Vincent ?
A Pachi, une place parmi les pêcheurs – dîner de sardines à la Taverna locale –
où ce sont les canards qui mendient les restes !
Navigation en Attiki, le golfe de la région d’Athènes et pose de deux jours sur la dernière île reliée par un ferry à Athènes, Salamina.
Le port de « plaisance » local n’a pas trop d’eau, les pendilles sont dans un état lamentable, et personne ne se précipite pour nous accueillir. Nous nous retrouvons encore une fois auprès de pêcheurs fort accueillants, entre deux gros bateaux
dans les méandres des « canaux » au Nord de l’île pour rejoindre Athènes
au mouillage, mes deux navigateurs sont tombés en panne d’essence !
Nous ne rencontrerons aucun voilier durant cette remontée, uniquement de gros cargos, dans une mer toujours aussi belle, où nous nous baignerons chaque jour, et où nous aurons vu depuis notre départ en mai, deux tortues de mer et quelques dauphins un fois ; inutile de vous dire que la pêche, malgré l'aide de Vincent, ne donne absolument rien ! le poisson vient des fermes marines ... dommage !
Voir la note suivante sur Athènes.
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