A l'heure des "baisses d'imposition" évoquées par nos politiques, force est de constater que le sinonyme de "baisse"
c'est "transfert". L'état cherche partout de l'argent et fait feu de tout bois afin d'assumer des dépenses somptuaires bien
souvent inutiles.
A coté de cela on lit un certain nombre de documents comme par exemple le rapport du sénat "Rapport d'information n° 418
(2004-2005) de MM. André BOYER et Jean-Guy BRANGER" dans lequel est soulignée la faiblesse des moyens de l'administration
à vocation maritime. Et ce n'est pas l'augmentation du droit de navigation qui va changer quelque chose à ce niveau puisque
80% des recettes vont au conservatoire du littoral (en principe ; c'est comme la vignette pour les vieux ? ) .
Moins connu, on apprend aussi que l'état Français paye des pénalités à l'Europe pour ne pas assumer, faute de moyens, les
10% des contrôles obligatoires des navires de commerce séjournant dans les ports français.
Enfin, la France qui est le deuxième pays constructeur de navires de plaisance ne fait aucun investissement dans ses capacités
d'accueil portuaires et prend une fois de plus un retard considérable vis à vis de ses partenaires Européens. Il faut voir ce qui
est fait en Espagne ou en Italie et sans doute ailleurs.
Bref, on marche sur la tête et le principe des vases communiquants est inconnu à l'administration. Ce qui est pris sous forme de
taxe vient en moins dans le circuit économique et l'I.S.F. (Investissement Sur le Futur) est inconnu à nos gouvernants.
Donc, je paye, mais je lis, je pense et je vote......Mais cela ne m'empêchera pas de naviguer.
Je ne pense pas être le seul à avoir ce coup de gueule
A l'heure des "baisses d'imposition" évoquées par nos politiques, force est de constater que le sinonyme de "baisse"
c'est "transfert". L'état cherche partout de l'argent et fait feu de tout bois afin d'assumer des dépenses somptuaires bien
souvent inutiles.
A coté de cela on lit un certain nombre de documents comme par exemple le rapport du sénat "Rapport d'information n° 418
(2004-2005) de MM. André BOYER et Jean-Guy BRANGER" dans lequel est soulignée la faiblesse des moyens de l'administration
à vocation maritime. Et ce n'est pas l'augmentation du droit de navigation qui va changer quelque chose à ce niveau puisque
80% des recettes vont au conservatoire du littoral (en principe ; c'est comme la vignette pour les vieux ? ) .
Moins connu, on apprend aussi que l'état Français paye des pénalités à l'Europe pour ne pas assumer, faute de moyens, les
10% des contrôles obligatoires des navires de commerce séjournant dans les ports français.
Enfin, la France qui est le deuxième pays constructeur de navires de plaisance ne fait aucun investissement dans ses capacités
d'accueil portuaires et prend une fois de plus un retard considérable vis à vis de ses partenaires Européens. Il faut voir ce qui
est fait en Espagne ou en Italie et sans doute ailleurs.
Bref, on marche sur la tête et le principe des vases communiquants est inconnu à l'administration. Ce qui est pris sous forme de
taxe vient en moins dans le circuit économique et l'I.S.F. (Investissement Sur le Futur) est inconnu à nos gouvernants.
Donc, je paye, mais je lis, je pense et je vote......Mais cela ne m'empêchera pas de naviguer.
Je ne pense pas être le seul à avoir ce coup de gueule
Bonnes nav à tous quand même.....
Alain